1. Hadès


    Datte: 04/10/2018, Catégories: fh, préservati, pénétratio, hfisté, attache, humour, policier, aventure,

    ... la petite : il n’aime pas qu’on lui résiste, et que la mère aussi risquait d’y passer lors de l’échange. C’est fou ce que la vue d’un réveil et d’une pastèque peut délier les langues… Federico était adepte de la violence, mais envers les autres, pas qu’il en soit la victime. Il fallut l’arrêter, car il allait réciter ses tables de multiplication. Lars Enènupi prenait des notes et enregistrait les aveux sur un petit Nagra. — Voilà, c’est tout ce que je sais.— C’est bien, je te crois ; tu es un gentil petit. Lars lui caressa les cheveux en un geste amical. — Vous allez retirer la bombe, hein ? J’ai parlé, j’ai tout dit. Vous avez promis juré, demanda-t-il, plein d’espoir.— Hum, hum. Moi, oui. Mais elle, là… ajouta Hadès en désignant Marika, c’est sa fille que tu as enlevée ; elle est ma patronne en quelque sorte. Elle n’a rien promis, elle. On ne contrarie pas son employeur ni une jolie femme, tu es d’accord avec moi ? Adieu, mon petit.— Hijo de puta, ve a morir en infernio !**— Por favor, después de ti…*** Ils sortirent tous deux de la pièce, laissant hurler le truand. Quand la porte se referma, les cris cessèrent : l’insonorisation était remarquable. Il pouvait hurler à la mort pour l’éternité, personne ne l’entendrait. Dans son cas, il allait crier le restant de sa vie, soit 9 heures et 16 minutes. _________________________________ *Joder : Putain. **Fils de pute, va crever en enfer ! ***Je t’en prie, après toi… Le dos appuyé contre l’épaisse porte métallique, Marika ...
    ... tremblait de tous ses membres. Elle vacillait, la tête lui tournait, elle refoulait des envies de vomir. C’était la première fois qu’elle allait tuer un homme, sciemment, et de quelle façon ! Soudain elle faillit s’effondrer. — Ça va ? lui demanda son compagnon en la soutenant avec délicatesse.— Oui, merci. Ensemble ils remontèrent les quelques marches menant à la cave aux horreurs. Lui la tenant par la taille, elle s’agrippant à son épaule. Arrivés dans une pièce « normale » de cette maison – en l’occurrence la cuisine – la policière se mit à claquer des dents. — Houlà, non, ça ne va pas mieux. Tenez, buvez cul-sec, dit-il en lui tendant un verre. Elle avala et faillit s’étrangler. — C’est quoi ce truc ? gémit-elle, enrouée.— Prunelle artisanale : un nectar divin, fait spécialement pour le Royaume des Morts. Comme elle continuait de trembler, il la porta dans ses bras. — Venez, on va prendre une douche, pour vous réchauffer. Il la fit asseoir sur un tabouret et la déshabilla comme on déshabille un bébé ; elle ne réagit même pas lorsqu’il fit glisser le soutien-gorge et une culotte du genrePetit-Bateau. Il ne s’attarda que quelques instants sur les seins lourds aux tétons et aréoles larges et foncés, ainsi que sur la toison sombre et fournie sur son bas-ventre. L’homme commença à faire ruisseler l’eau chaude sur la jeune femme avant de se rendre compte qu’il trempait ses vêtements. Sans aucune hésitation, il se dévêtit lui aussi. Une noix de savon au creux de la main, il massait ...
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