Hadès
Datte: 04/10/2018,
Catégories:
fh,
préservati,
pénétratio,
hfisté,
attache,
humour,
policier,
aventure,
... veulent la guerre ? Ils l’auront !Il se mit à hurler.— Tuez la petite ! Tuez la gamine !~o~Sitôt quitté Marika, Lars Enènupi grimpa quelques marches. Un type descendait, vêtu d’un slip douteux ; la lame duBowie lui trancha l’aorte, faisant gicler le sang sur les murs.« Va falloir revoir la déco… » Face à lui, sur un palier, trois types le regardaient, hébétés. Le monstrueuxDesert Eagle donna pour la première fois de la voix. Peu de recul pour une arme de ce calibre ; mais alors quel son, mais alors que de dégâts ! La même balle perfora les truands à la queue leu leu, les propulsant plusieurs mètres en arrière, tels des pantins désarticulés.Il arriva au sommet des marches. Un autre type se présenta devant lui ; il subit la même peine. Il lui fallait trouver le bureau de la vieille ordure, mais avant tout il devait nettoyer chaque pièce pour éviter de se retrouver pris entre deux feux.C’est à ce moment qu’il entendit crier du fond du couloir :— Tuez la petite ! ¡Mate a la pequeña!« Je te vois, vieille ordure ; je sais où tu te planques. Je vais te débusquer. »~o~Marika entendit le cri, le hurlement de haine de Martinez. Elle courut comme une folle vers la dernière porte qui restait à ouvrir. Si un ennemi était passé là, dans son dos à cet instant, elle n’y aurait pas prêté attention, offrant une cible parfaite. Mais le destin en décida autrement : quelques gardes qui restaient prenaient la poudre d’escampette à travers champs et fuyaient à toutes jambes.Elle enfonça la porte en ...
... hurlant comme une damnée.~o~Le fantasme de Quiriño Faringite, ditLe Vérolé, était de tuer un gamin – ou mieux, une gamine – au couteau. Sentir la lame s’enfoncer lentement dans la chair tendre, voir la terreur dans les yeux puis, insensiblement, les pupilles se ternir alors que le sang et la vie s’échappaient du petit corps. Bien sûr, il l’avait fait avec des hommes, des femmes, mais il était sûr qu’avec un enfant ce serait le top, le summum de la jouissance. Il se disait descendant des grands guerriers aztèques et se savait voué à un destin exceptionnel.Son patron, leseñor Jorge, lui avait promis que la petite serait pour lui, même une fois récupéréel señor Federico. Il n’y avait pas de parole à tenir avec des flics : on découpe lapequeña ! Aussi, lorsqu’il entendit les premiers tirs, il se tenait prêt, n’osant sortir pour aider ses collègues et ainsi laisser la fillette sans surveillance. Il savait que son heure allait sonner.Il se leva et sortit sonKama qu’il affûtait deux fois par jour.La petite fille le regardait, terrorisée, ce qui ne faisait que décupler son envie. Aussi, lorsque Don Jorge cria « ¡Mate a la pequeña! » il n’hésita pas une seconde et s’avança lentement vers Yona, tel le loup de la fable de monsieur Seguin vers la petite biquette blanche.C’était sans compter sur une grosse boule de poils de quarante kilos munie de crocs acérés et qui adorait la petite fille. La mâchoire de l’animal se referma sur le poignet de Quiriño qui hurla de douleur, jura, donna en ...