1. Le club des nymphes - tome II (19)


    Datte: 05/10/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    Chapitre 19 (Louise) : Le défilé Le bruit de la porte de mon appartement se fait entendre. Thomas est enfin de retour. Je me retourne, prête à le recevoir. J’avais tellement hâte de le retrouver et de reprendre les choses là où on les avait arrêtées le week-end dernier ! Son père étant sorti d’affaire, il est temps de fêter cela. D’autant plus que j’ai une autre très bonne nouvelle à lui annoncer. Sauf que Thomas ne franchit pas le seuil tout seul : sa garce de sœur est à ses côtés. Je cache ma mine déçue. J’aurais préféré qu’il ne me l’amène pas chez moi. Mais bon, après les derniers jours qu’ils ont vécus, je préfère me montrer compréhensive. Je jette un bonjour à la garce et embrasse mon homme fougueusement. Une chaleur se réveille déjà dans mon ventre. J’ai hâte de me retrouver seule avec lui. — Comment vas-tu ? questionné-je mon homme. — Bien mieux maintenant, me sourit-il en me tenant dans ses bras. — Et toi ? demandé-je à sa sœur par simple politesse. — Ça va, répond-elle le regard baissé. Thomas m’embrasse dans le cou et me caresse le dos. Il a l’air très en forme, très amoureux. Me voilà encore bien plus impatiente mais Élodie reste figée là, le regard détourné. Elle semble un peu nerveuse et embarrassée. Qu’attend-elle, bon sang ? — Louise, hésite-t-elle, je voulais te dire quelque chose… — Oui, vas-y, l’encouragé-je devant sa réticence à continuer. — Je… je suis désolée… désolée pour tout ce que je t’ai fait subir. — Pardon ? Je n’en crois-je pas mes oreilles. — ...
    ... J’ai été vraiment horrible avec toi. Tu as fait de ton mieux pour le club des nymphes et… pour Thomas. Moi… j’ai tenté de te prendre tout ça. J’ai été égoïste. Désolée. J’en reste sans voix. Suis-je en train de rêver ? Le doute m’assaille un instant. Je ne pensais pas entendre des excuses d’Élodie de toute ma vie. Ce n’est pas possible ! Le monde tourne à l’envers, ou alors j’ai débarqué dans une dimension parallèle. Suite à mon silence éberlué, Élodie décide de poursuivre : — Je vais dissoudre mon club et je conseillerai aux sirènes restantes de se joindre à toi. Quant à moi, je resterai de mon côté. Tu n’auras plus rien à craindre de moi, je te laisserai tranquille. C’est la moindre des choses que je peux faire pour me faire pardonner, si un jour tu souhaites me pardonner. Quoi ? Non seulement elle s’excuse, mais en plus elle dépose les armes. Elle est vraiment sincère, alors ? Il n’y a pas de coup fourré ? Thomas me sourit. Il a l’air de la croire sur parole. Elle est sa sœur, il est donc celui qui la connaît le mieux. S’il la pense honnête, alors je peux lui accorder ma confiance. Alors, c’est donc vrai… Purée, l’accident de son père a dû lui faire un sacré choc ! Il fallait bien ça pour qu’elle se remette en question aussi radicalement. — Élodie, je te remercie sincèrement pour tes excuses et j’apprécie vraiment que tu sois prête à dissoudre ton club mais… quoi que tu puisses en penser, tu restes une nymphe. Tu l’as toujours été et tu le seras toujours. Je refuse donc que ...
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