1. Vers 17 heures, elle quitte la chambre sur un dernier baiser


    Datte: 05/10/2018, Catégories: fh, hotel, Oral fsodo, hdanus,

    Séverine était à côté de moi pendant le dîner. Elle portait une jupe couvrant à mi-cuisses ses jambes gainées de noir – bas ou collants : l’alternative sensuelle pouvait devenir érotique. La discussion, comme à l’habitude, portait sur les sujets futiles qui font l’ordinaire des dîners lillois, lorsque je sentis son pied contre le mien. Adorable sensation que d’imaginer que ce n’était pas le hasard qui l’avait conduit ici. Je ne bougeais pas le mien, trop perdu dans mes fantasmes utopiques. Mais je n’eus pas le temps de prolonger mes rêves alors que la discussion allait bon train sur les dernières péripéties de notre président volage. Le pied de ma charmante voisine se fit plus précis car, libre de tout escarpin, il remontait doucement le long de ma cheville. Le doute ne pouvait être permis : la belle blonde était tout simplement en train de mefaire du pied. Quelle provocation ! En plein dîner entre amis, avec son mari, tout proche, ma femme à quelques chaises, c’était plus qu’une provocation en fait, bien davantage un énorme risque. Comment décrire Séverine ? C’est une très jolie femme, sans aucun doute la plus jolie de nos amies. Plutôt grande, blonde façon Marylin, un corps bien fait, une taille de hanches idéale, des seins sans exagération et de longues jambes aux attaches fines, un joli visage doux aux yeux gris-vert. Peut-être un peu grande et mince, pas certain. Quelques petites imperfections donc, mais une folle envie de lui faire l’amour à chaque fois que je la ...
    ... voyais. Peut-être mon envie avait-elle été trop visible ; les femmes ont ce sens-là et je soupçonnais Séverine de le détenir plus que d’autres. J’étais immobile comme une statue de bronze et mon sexe se trouvait d’un coup trop à l’étroit dans son boxer. Je sentais son pied plus insistant, comme s’il appelait une réaction de ma part. J’osai un regard à ma gauche, mais Séverine, le buste penché sur la table, participait aux échanges avec la petite pointe d’humour qu’elle sait si bien distiller et qui contribue à son charme. Son pied, trop impatient, aida le mien à ôter mon mocassin, le libérant pour pouvoir jouer avec lui en toute discrétion. C’était du moins mon espérance. Le reste du repas, nous avons ainsi fait l’amour par procuration pédestre. Son peton nu caressait le mien, et ses orteils malins voulaient sans doute ôter ma chaussette. Vainement. Je me voyais mal en effet expliquer à ma femme ou à mes amis, lors du café, pourquoi je n’avais mis qu’une chaussette ce soir ! Ce petit jeu me procura cependant un réel plaisir que je n’osais concrétiser, sauf à recaler mon sexe le plus naturellement possible ; bel exploit en plein repas. Pendant le café, revenus au salon, rechaussés, nous nous sommes assis l’un en face de l’autre, par hasard, pas tout à fait. Je sentais que parfois le regard de Séverine se portait sur moi, mais je ne cherchais pas à accrocher le sien, mon trouble aurait été trop perceptible. En se quittant, il m’a semblé que ses bises étaient plus proches de mes ...
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