1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°787)


    Datte: 05/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... que je connaissais, c’était par mes lectures dans les différentes sagas des esclaves au Château du Marquis d’Evans. Et donc pas pour les avoir testés en réel, pour la plupart. Après avoir fait le tout visuel de la pièce craintivement, je rebaissais la tête et les yeux, intimidée, un peu apeurée. A ce moment précis, j’en voulus au Maître de m’avoir mise dans cette situation sans être là pour s’assurer que je supportais ce qui m’allait être imposé. Il m’avait abandonnée aux mains de personnes que je ne connaissais pas, et donc en qui je n’avais pas spécialement confiance. - Mets-toi à quatre pattes, chienne ! Tu n’as pas à connaître nos noms. Si jamais tu es autorisée à parler, ce qui n’est pas sûr, tu nous appelleras Madame ou Monsieur. Pour le moment, tu n’as aucune autorisation de parler, aucune autorisation de laisser sortir le moindre son de ta petite gueule de chienne en chaleur ! Un des hommes me mit des bracelets de cuir aux poignets et aux chevilles, après que je me sois exécutée. L’œuf qui me remplissait la chatte s’éteignit et un peu de ma cyprine s’écoula sur mes cuisses. Chaque bracelet était flanqué d’un anneau métallique. Il attrapa ma laisse et me conduit dans un coin de la pièce. Je n’avais pas vu que différents crochets étaient accrochés aux murs et au plafond. Il appuya de son pied entre mes omoplates, exerçant une pression afin que je me retrouve en position de levrette. J’étais face au coin et n’avais donc aucun moyen de savoir ce qu’il se passait autour ...
    ... de moi. J’entendais des bruits, sans pouvoir les identifier. Soudain, le plug que j’avais entre les fesses fut retirer brusquement, et quelque chose de fin et pas très long me semblait-il, prit sa place. Quand je commençais à sentir un liquide tiède s’écouler dans mes entrailles, je fus prise de panique ! Je me doutais que l’homme était en train de me faire un lavement avec un tuyau relié à une poire, et je repensais à la bassine que j’avais aperçue plus tôt ! Je me sentais déjà humiliée, et j’espérais, sans espoir, me tromper. Il me sembla que plusieurs dizaines de minutes étaient passées, m’indiquant une grande quantité de liquide injecté dans mes entrailles, lorsqu’on m’enleva la canule et qu’on me remit un plug. L’homme me contourna, m’attrapa les cheveux pour me forcer à me relever. Je serrais les fesses autant que possible, pour ne laisser échapper ni le plug, ni rien d’autre qui pourrait avoir envie de s’échapper de mon cul. Il étira mes bras vers le haut et attacha mes poignets à un anneau. Puis il saisit une barre d’écartements qui était appuyée contre le mur et que je n’avais pas vu jusqu’ici, et m’y attacha les chevilles ainsi largement écartées. A cause de l’angle du mur, la barre d’écartement m’obligeait à me retrouver penchée en arrière, légèrement en diagonale par rapport au sol. Je gardais la tête et les yeux baissés attendant la suite avec appréhension. L’homme alla chercher la bassine pour la poser au sol sous mes fesses, puis il me massa le ventre partant du ...