Cecil
Datte: 06/10/2018,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Quand Cécile se réveille ce Samedi matin de Juin, elle se sent toute trempée de sueur. Allongée sur le ventre, entièrement nue dans son lit dont les draps avaient été repoussés, elle devine immédiatement la raison de cet état: Elle avait omis de fermer les volets de sa porte-fenêtre, la veille, et le soleil frappait déjà fort sur les carreaux, à cause desquels la température dans le studio s'était sensiblement élevée. Mais Cécile n'aurait peut-être pas autant transpiré si elle ne portait pas d'aussi longs cheveux. Elle est très fière de son abondante chevelure blonde qui couvre son dos, en entier, et pousse l'extravagance jusqu'à dissimuler aussi ses petites fesses menues mais fermes et rebondies. Des fesses dont la musculature affirmée accentue le creusement des reins, mais aussi maintient naturellement les deux globes érigés et singulièrement séparés l'un de l'autre. La vallée qui les délimite avec une belle symétrie n'a rien d'hermétique: S'il n'y avait pas ces cheveux si longs et si agaçants qu'ils privent le regard de tout son relief , il serait loisible d'apercevoir le fond du sillon, et, couchée comme elle l'est à présent -jambes légèrement écartées, le cratère plus rose et froncé de l'anus. Telle observation serait d'autant plus aisée que la région du corps, les reliefs fessiers comme la dépression rectiligne qui les scinde, est naturellement démunie de toute pilosité, comme c'est souvent le cas chez les vraies blondes. Dans la position qu'elle occupe au moment de son ...
... réveil, des mêches collées par la transpiration se sont insidieusement glissées dans l'interstice peu escarpé d'entre ses fesses; elle a même l'impression que certaines sont en contact avec la région plus méridionnale qu'occupent ses lèvres intimes. En tout cas, la partie la plus secrète de son postérieur est parfaitement dissimulée sous sa coiffure. Bien que légèrement ondulés, les mêches de cheveux les plus longues descendent un peu plus bas que son entrecuisses. Lorsqu'ils sont mouillés, elle sent nettement les pointes des mêches les plus longues caresser l'envers de ses cuisses. Dans son appartement, bien que les grandes baies vitrées soient dépourvues de rideau, elle vaque presque toujours nue à ses occupations. Elle ne se soucie pas qu'on puisse l'apercevoir de la rue, pour peu qu'elle s'approche trop près de la fenêtre. Pourtant, au premier étage, l'interieur de l'appartement doit facilement accrocher le regard du promeneur, à fortiori du promeneur curieux. Toujours est-il qu'alors, ses longues mèches se perdent naturellement entre ses fesses accueillantes à souhait, avant que d'aller balayer l'intérieur de ses cuisses qu'elles chatouillent agréablement, d'autant qu'à cet endroit plus encore qu'ailleurs, la finesse de l'épiderme procure une sensation exacerbée. Lorsqu'elle se penche en avant, ces mêmes mèches tombent dans le marécage de ses rives intimes, et parce que l'humidité de la région déborde toujours, ses cheveux s'y engluent irrémédiablement, au point qu'elle ...