Nadine, la vengeance d'une maman (6)
Datte: 07/10/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... s’immerge dans l’eau jusqu’au cou. Elle ferme les yeux. Son fils était fou de désir hier soir, incapable de se contrôler ; il était sur le point de déraper, d’aller trop loin, et elle n’aurait rien fait pour l’en empêcher. weowjjay Elle est stupéfaite de penser à lui de cette façon. Il y a longtemps que son mari ne l’a pas touchée, une éternité qu’elle n’a pas éprouvé du plaisir. Pourtant, elle adorait le sexe. Elle n’aimait pas provoquer ni séduire, mais elle aimait faire l’amour. Elle pensait naïvement qu’elle était la gentille épouse fidèle dont tout époux rêve : une salope à disposition, une femelle dévouée prête à s’abandonner. Elle se trompait, bien sûr. Personne ne se satisfait de ce qu’il a. Elle ne comprend pas comment les choses ont pu merder à ce point, comment sa vie entière a pu basculer. « Et voilà, je recommence à déprimer ! » se lamente-t-elle. Cependant, elle prend conscience que broyer du noir ne lui apportera aucun réconfort : elle a déjà donné. Elle ne veut pas se laisser envahir par la tristesse, perdre pied, alors elle pense à son fils, ce gentil, ce beau garçon qui ne lui veut que du bien. Nonchalamment, sans même s’en apercevoir, elle se caresse un sein, s’excite le mamelon entre le pouce et l’index. Sa main descend lentement, ...
... s’égare dans sa toison. Elle empaume sa motte, replie tout de suite ses doigts à l’intérieur de la chair gluante, les enfonce tout au fond. « Mon Dieu, mais qu’est-ce que je fais ? » Rien, dans l’éducation de Nadine, ne l’a préparée à la masturbation. Elle en a toujours refusé l’idée. Elle a grandi selon des principes éternels et définitifs : il s’agit d’une caresse sacrilège, répugnante, particulièrement déshonorante pour une femme qui se respecte. C’est la raison pour laquelle elle est doublement honteuse de se branler, alors qu’elle navigue entre excitation et accablement. « Mais c’est mon fils… c’est à mon fils que je pense, enfin ! » Pourtant, elle garde les cuisses écartées, frappe hystériquement de ses talons le fond de la baignoire, fait éclabousser l’eau qui déborde tout autour. Elle se tripote, appuie sur son clitoris, l’écrase sous son pouce, les autres doigts toujours enfouis au fond du vagin. Elle jouit. Elle pousse un cri rauque, une plainte d’animal blessé. L’orgasme la dévaste. Et alors, aussitôt après, le remord prend le pas sur le plaisir. Nauséeuse, elle reste dans son bain jusqu’à ce que l’eau devienne froide, les yeux perdus dans le vague. Elle en sort quand ses extrémités sont toutes fripées, qu’elle tremble de la tête aux pieds…