La petite robe - Histoires de Sexe

La petite robe

... mains, tu attendis que le couple commence à se lever et là d’une incroyable indécence, tu décroisas tes jambes en direction de l’homme. Ce dernier jeta un regard fou entre tes jambes, il pouvait parfaitement voir ton sexe glabre et même tes lèvres qui s’étaient desserrées avec l’excitation. Il prit alors le temps de discuter avec sa femme tout en jetant des regards rapides sur toi. Après plusieurs secondes, tu resserras tes jambes, le spectacle était terminé. L’homme laissa passer sa femme en premier qui passa près de toi pour partir. L’homme la suivit et tu vis qu’en s’approchant, une belle bosse déformait son pantalon. Il passa près de toi, te souris, se pencha légèrement vers toi et te dis : — Merci pour ce moment très agréable. Et il poursuivit son chemin. La vision de son sexe bandé et ces quelques mots te firent littéralement couler. Tu te penchas vers moi et me dis que tu étais, très, très excitée. Je te répondis que c’était très bien. Tu compris que la journée allait te réserver encore bien des surprises…. Quelques minutes après, nous nous levâmes à notre tour pour continuer notre journée shopping. Nous déambulions à travers les allées pour faire du lèche-vitrines. Je caressais régulièrement mais discrètement tes fesses à travers ta fine robe. Tu me réprimandais à chaque fois mais toujours avec un sourire malicieux qui me faisait comprendre que cela te plaisait au fond. Tu m’entraînas alors chez C&A. Nous traversions les allées de vêtements. Tu t’arrêtais souvent ...

... sur cette robe qui attirait ton regard, sur ce pantalon blanc que tu trouvais joli, sur ce caraco fort sympathique, sur ce short court blanc…. Après avoir déambulé au milieu de cette caverne d’Ali Baba à travers les trois étages du magasin, tu te présentas aux cabines d’essayages du deuxième étage. Celles-ci se trouvaient dans un coin renfoncé et étaient peu fréquentées. Tu t’engouffras, les bras chargés, dans la cabine du fond, derrière un rideau épais. Je me tenais juste derrière et me sentais un peu comme à la représentation d’une pièce de théâtre, attendant que le rideau s’ouvre sur la première scène du 1er acte… Tu apparus enfin, magnifique dans cette robe bretelle bleue à motifs rouges s’arrêtant cinq centimètres au-dessus des genoux. Les bretelles se croisaient dans le dos et offraient un joli mi-dos nu ainsi qu’un décolleté mettant harmonieusement ta poitrine en valeur. J’étais subjugué et je ne sais pas si cela était dû à cette seule vision féerique ou si venant s’ajouter aux récents événements, mais je sentis mon sexe prendre une belle ampleur dans mon pantalon. Je te dis que tu étais magnifique et diablement désirable. Tu souris en me disant : — Bon, je la prends, celle-là. Tu refermas le rideau. Je restais dehors, je jetai un rapide coup d’œil sur les autres cabines restées vides et, pris d’une pulsion soudaine, je m’engouffrai à l’intérieur de la cabine également. Surprise, tu me demandas ce que je faisais là. Je me collais à ton dos et commençai à caresser tes ...