1. Vacances, sexe et exhib. (14)


    Datte: 08/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Une journée tranquille Le réveil est un peu pénible à cause de la nuit passée et aussi de l’alcool consommé sans excès, mais qui me fait rapidement tourner la tête. Comme à l’accoutumée, notre réveil, c’est câlin, un p’tit coup dans les fesses, et c’est parti pour la journée ! Pat et moi allons dans la salle de bain ; les filles ont mobilisé la baignoire. Après la bise à tous, nous passons sous la douche tout en étudiant le programme de la journée déjà bien entamée. Nous optons pour un brunch, la plage naturiste – pas celle des cochons – et pour le soir, balade resto simple, au port, puis un coucher pas trop tard de façon à repartir chez nous demain matin de bonne heure pour que les filles puissent profiter du calme et de la piscine car elles repartent après-demain. En regardant l’affichette sur la porte de notre chambre, Pat découvre que l’hôtel propose des brunchs ; il nous renvoie l’information. Après tout, pourquoi ne pas le prendre ici, sur la terrasse de notre chambre ? Pat passe commande, et un quart d’heure plus tard une serveuse nous apporte un chariot garni de victuailles diverses. Je ne fais pas trop attention à la serveuse quand : — Mademoiselle, je suppose qu’on a dû vous dire que vous êtes magnifique ? lui demande Élodie. — Oui, bien sûr, Madame. — Et vous a-t-on déjà proposé un câlin entre filles ? reprend Élodie avec son air joueur et taquin. — Euh… mais… je… Non, répond-elle, les joues rouge écarlate, — C’est vrai qu’on pourrait s’en faire un casse-croûte, ...
    ... hein, les filles ? propose Élodie, toujours aussi chahuteuse. — Est-ce que tu as déjà fait ça avec des filles ? s’enquiert Tatiana. — Euh… Non, jamais. Mais il faut que j’y aille : je suis en service, je dois rendre des comptes, et… — S’il n’y a que ça, ma belle, on te couvre sans problème ! je la rassure. — Oui, j’y ai bien pensé, mais voilà… (elle marque un temps d’arrêt) Dans cinq minutes, j’ai une demi-heure de pose ; il faut que je pointe. — Va, ma belle ; et si ça te tente, en une demi-heure on peut te faire jouir au moins trois fois : à toi de voir. La belle serveuse s’enfuit. J’installe la table quand on frappe à la porte. J’ouvre, et découvre la serveuse accompagnée d’une autre personne. Je suis inquiète, mais la belle me lance un joli clin d’œil. Oh, elle est maline, la coquine ! — Bonjour ! Je vous demande pardon, mais Anaïs me dit que vous avez besoin de ses services. Je suis surpris de cette demande car c’est la première fois que cela arrive. Moi, dans le genre, j’ai de la répartie. Je trouve la solution à la vitesse de l’éclair ; je m’y connais… — Eh bien, Monsieur, il y a un début à tout. Effectivement, nous aurions voulu qu’elle refasse les lits des deux chambres et mettre un peu d’ordre. — Oui, mais on le fera quand vous serez sortis. — Sauf qu’on ne sort pas ; donc… — Oui, mais elle prend sa pause ; je vais donc vous envoyer quelqu’un d’autre. — C’est pas grave, Monsieur ; je vais le faire sur mon temps de pause. Vous nous dites toujours qu’il faut satisfaire ...
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