1. Tatie Denise


    Datte: 08/10/2018, Catégories: fh, fagée, noculotte, intermast, Oral fplusag,

    Voici quelque temps un ami m’a parlé de Revebebe. La curiosité m’a poussé à y faire un tour, et à mon tour je me suis décidé à narrer une aventure qui m’est arrivée il y a maintenant plus de vingt ans. Quand je dis aventure, je devrais plutôt parler d’expérience, au sens où on l’entend en matière scientifique… À cette époque j’étais responsable d’un bureau d’étude et à ce titre je me rendais fréquemment chez nos fournisseurs, plus rarement chez des clients. Bien entendu, ces déplacements loin de mon domicile m’ont amené à fréquenter nombre d’hôtels, pas toujours de premier ordre, des restaurants, pas tenus par des chefs « étoilés », bref tout ce qui fait la vie d’une personne en déplacement. Au gré de mes déplacements, il m’est arrivé de faire des rencontres « d’une nuit », mais cela est assez commun et n’intéresserait pas le lecteur. Non, moi c’est autre chose. Tout a commencé dans une ville de province où je me rendis à plusieurs reprises lors du développement d’un projet dont j’avais la charge. J’avais pris mes habitudes dans un hôtel, dont l’ambiance, surtout celle du restaurant, me plaisait. Évidemment, ce qui devait arriver arriva. C’était par une nuit de mai (je crois…) je la terminais en compagnie d’une voisine de palier… Comme elle aussi restait pour deux nuits, ce furent deux nuits torrides que je passais en sa compagnie. Je ne l’ai jamais revue. Le second soir, comme nous avions dîné ensemble, il était évident pour quiconque nous observait un peu, qu’il y avait un ...
    ... petit « quelque chose » entre nous… Le temps passe. Je reviens à l’hôtel en septembre, seul. C’est là que je remarque le comportement de la serveuse – appelons-la Hélène – à mon encontre. Elle avait bien sûr remarqué mon manège avec ma première compagne d’un ou plutôt de deux soirs quelques mois plus tôt, mais je n’avais jamais cherché du côté du personnel. Hélène paraissait avoir la cinquantaine (j’en avais 46), encore assez bien faite de sa personne, mais je la pensais mariée, rangée, tranquille. Ça s’est passé un soir. Je ne sais pas pourquoi CE soir-là. Hélène restait pour faire le bar jusqu’à la fermeture vers 11 heures. Pourquoi CE soir-là suis-je allé boire une bière ? Je n’avais jamais bu d’apéritif, tout au plus un demi en arrivant lorsque le temps était chaud, mais sans plus. Au bar, il y avait un couple (qui ne me semblait d’ailleurs pas légitime non plus) qui buvait je sais quel cocktail. Je remarquai le manège d’Hélène, elle me regardait sans cesse. Comment avons-nous commencé à parler ? Je ne sais pas, mais un peu avant 11 heures, nous débattions tous les quatre au sujet… des rencontres fortuites ! Un temps, j’ai cru que le couple allait m’inviter, ou plutôt NOUS inviter, Hélène et moi, à partager un moment dans leur chambre. Il n’en fut rien ! Pas de partouze ce soir-là ! Rideau ! Les deux amants ayant rejoint leur nid d’amour, je restais un moment en compagnie d’Hélène. Comment est-ce arrivé ? Je ne sais pas. C’est lorsqu’elle a voulu baisser le rideau de fer ...
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