1. Les grandes eaux


    Datte: 09/10/2018, Catégories: fh, ff, frousses, couple, gros(ses), grosseins, groscul, magasin, douche, lavement,

    ... plus appuyée sur sa cuisse, une paume qui dérape sur son cul de jument (une expression choquante qu’elle utilise in petto avec grande satisfaction), un doigt qui soulève de quelques millimètres l’élastique de sa culotte et elle se sent fondre. Le trouble de Victoria se transforme en excitation, elle sent une boule chaude naître dans son ventre et en même temps, sa chatte s’humidifier à une vitesse impressionnante. Une sorte de glaire poisseuse sourd de sa chatte, heureusement arrêtée par le barrage de la petite culotte en coton blanc. Victoria s’empourpre, la jeune femme à genou pour l’ourlet ne pouvant manquer la large tache qui orne sa culotte et encore moins l’odeur lourde et capiteuse de femme excitée qui s’élève dans l’atelier. Captant dans la panique dans son regard, la petite main lui oppose un calme olympien en savourant les effets de ses furtifs attouchements. Stoïque, Victoria reste de marbre bien que son cœur batte la chamade. La même situation un mois auparavant n’aurait pas eu de lourdes conséquences. Désormais, voilà Victoria en train d’imbiber ses sous-vêtements par sa mouille. La tache s’élargit et voici que la culotte est trempée jusqu’à l’élastique. Complice, l’autre femme semble heurter avec le dos de sa main le sexe de Victoria par inadvertance et s’en excuse aussitôt. C’est toutefois suffisant pour qu’elle hume avec délice sa main, partageant un éclat de rire silencieux avec sa collègue aux pieds de leur cliente trempée. Victoria, elle, s’empresse de ...
    ... remettre sa robe de jour alors que le paravent n’étouffe rien des petits rires dont elle n’a aucun doute à imaginer le sujet… Victoria ne cesse de lire le désir dans les yeux des passants depuis sa sortie de la clinique, pourtant, jamais elle n’aurait pensé que des gouines soient attirées par ses formes. Il faut dire que celles-ci lui valent le plus souvent l’hostilité de ses consoeurs. Certaines, décidément trop conditionnées par la lecture de la presse féminine, pensent que grossir volontairement relève de la psychiatrie clinique. Pourtant, Victoria se rend bien compte que dans la plupart des couples invités chez elle, les hommes la dévorent des yeux sans préjudice de s’afficher avec une femme fière de ses régimes et autres privations. Victoria s’en amuse, tous ces hommes ne résisteraient pas longtemps à ses avances mais professent en public un goût affiché pour les femmes minces. C’est bien le moins qu’ils puissent dire en présence de leurs femmes, les pauvres étant obligé de souligner les laborieux efforts de leur moitié pour garder à quarante ans le physique d’une lycéenne… Ce soir, elle rentre retrouver son mari après une journée forte en émotions. Après un rapide repas, Victoria se plaint de constipation, c’est le signal pour Laurent d’une soirée bien particulière. Après un détour par sa pharmacie personnelle, Laurent assiste à l’effeuillage de Victoria, excitante en diable dans sa robe de velours vert au large décolleté. Complètement nue, Victoria se penche et offre ses ...