Un cousin vicieux
Datte: 09/10/2018,
Catégories:
fh,
Inceste / Tabou
groscul,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
humour,
... ventre, fesses largement cambrées, presque tendues vers lui, de quoi mettre bien en évidence la partie la plus charnue de mon anatomie… Ultime précaution, j’ai glissé mon bras droit sous mon ventre, ma main posée sur mon bouton, au cas où il me prendrait l’envie de le toucher. Finalement la porte s’ouvre et j’entends mon cousin qui pénètre dans la pièce. Il referme derrière lui, s’approche de moi. Je vois un rai de lumière qui éclaire de mon côté, sans doute une lampe de poche. Il prend grand soin de ne pas le diriger vers ma tête pour ne pas me réveiller. Que fait-il ? J’ai l’impression qu’il m’inspecte de tous les côtés.Alors mon grand, tu le vois mon gros cul blanc, il t’excite mon derrière ? Mais évidemment je ne dis rien, je retiens mon souffle et j’entends un petit bruit, un bruit de queue que l’on masturbe. Mon cousin est en train de s’astiquer en regardant mes fesses. Putain, ce que ça m’excite de l’imaginer ainsi. Dans un scénario normal, je devrais me redresser, le dévisager, le confondre. Mais j’ai peur de provoquer sa fuite et j’ai envie qu’il continue. Mes doigts pénètrent ma chatte, discrètement, par petites touches : je suis trempée d’envie. Le flic-flac de plus en plus obscène de sa queue devient très excitant et je me doigte, moi aussi, plus vite en cambrant un peu plus les reins. Je l’entends haleter dernière mon dos, sa jouissance vient, je la sens proche… j’ai très envie de me faire baiser… mais je reçois un jet bien chaud dans la raie des fesses, ...
... suivi d’un second sur la fesse droite. Cette fois-ci c’en est trop, je ne peux plus me retenir. Profitant du fait qu’il est en train de s’épancher sur moi en grimaçant comme un beau diable, je me retourne d’un bond et me jette sur sa queue que j’embouche sans plus attendre. Pour lui la surprise est totale, mais je ne lui laisse aucune possibilité de repli, prisonnier qu’il est de ma fellation. J’avale avec délectation tout ce qui lui reste comme jus dans la queue en lui pressant les couilles. C’est délicieux, mais je suis insatisfaite. Maintenant qu’il m’a mis le feu aux fesses, j’ai très envie d’être baisée. Je m’acharne du mieux que je peux sur sa bite pour l’empêcher de débander. La tâche est difficile, c’est souvent à ce moment-là que les hommes craquent et retombent en enfance. Alors j’y mets tout mon savoir-faire ! Quelques minutes plus tard, il est à nouveau droit et dur comme l’Obélisque de la Concorde, en nettement moins grand, je vous rassure… alors je lui enfile un petit bonnet que j’ai trouvé dans la table de nuit : — Tu veux me baiser comment ? Par devant ? Par derrière ? Debout ? Assise ? Couchée ? Fais de moi ce que tu veux, mais prends-moi, pour l’amour du ciel ! Il ne dit pas un mot, plutôt des borborygmes, mais me fait malgré tout comprendre qu’il préfère me prendre par derrière, que je lui tende mes fesses. Comme tu veux mon gaillard ! J’allume en grand la lumière dans la chambre pour qu’il profite pleinement du spectacle grandiose que lui offre mon généreux ...