1. Ma fièeté aux oubliettes


    Datte: 10/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Partouze / Groupe

    Comment une séance de BDSM m’a aidée à jeter mes complexes aux oubliettes.Le BDSM peut avoirdes vertus inattendues. Comme, aider à accepter son corps et à envoyer valser ses complexes. J’ai fait un bon bout de chemin vers l’acceptation de mon corps tel qu’il est, avec ses parties que j’aime, et celles que j’aime moins. J'aime mes lèvres et mes seins. Je complexe sur mes cuisses et mes fesses. Ça ne m’empêche pas de faire du naturisme ou faire l’amour en pleine lumière. Par contre, ce que je n’avais pas imaginé, c’est qu’une séance de BDSM m’aiderait à me trouver plus belle. Dans mon cas, je suis soumise. Ce qui me fait décoller, c’est d’obéir, de m’abandonner et de prendre des fessées. Ca s’explique pas.J’ai expérimenté la sexualité BDSM il y a pas mal d’années maintenant. Mais ça faisait un moment que je n’avais pas eu l’occasion de le pratiquer. Mes derniers partenaires ne mangeaient pas de ce pain-là et ça n’a aucun intérêt de recevoir une bonne fessée si ça ne fait pas kiffer la personne qui l’administre.Suite à un contact sur le net, je me suis retrouvée un matin à attendre un homme, en petite robe d'été légére, nue dessous. Je devais passer un week-end avec cet inconnu. J'étais nerveuse car en me renseignant à son sujet, j’avais appris qu’il était très dominant. Je lui avais fait comprendre que c’était loin de me déplaire. C’était parti pour deux jours de luxure avec des coups de fouet et autres humiliations. Au fond de moi, j’avais les mêmes craintes qu’avant chaque ...
    ... « première fois ». Si je ne lui plaisais pas ? Si mon corps le décevait ? Bon, je me doutais qu’il n’allait pas s’exclamer « Salope comment t'es canon ! » en me voyant nue. On n’y peut rien. J’aime être soumise, mais j’ai toujours une sorte de fierté qui se réveille. J’en ai envie, mais je me rebelle. Et c’est dans le lâcher-prise que se trouve le plaisir. Il m'a emmené chez lui. Très courtois et prévenant lors du trajet, mes craintes se sont dissipées. Arrivés dans son salon, mon partenaire de jeu s’est confortablement assis dans le canapé. A ce moment le ton a changé pour devenir autoritaire. Il m’a dit sur un ton qui ne demande pas de refus :« A poil salope ! » C’est une chose de se dévêtir à deux, dans un désir sexuel, s’en est une autre de se tenir debout, en pleine lumière, et sur ordre de se mettre nue, face à un inconnu qui reste habillé et qui vous observe. J'ai ôté ma robe avec hésitation. Et comme une oie blanche, gênée, une fois nue, j'ai gardé les bras croisés sur ma poitrine et mon ventre. Il m'a alors ordonné :« Main sur la tête petite pute ! » J’étais honteuse de m'offrir totalement nue devant cet homme. Puis j’ai eu comme un déclic. Ma mentalité de soumise a fait surface. J’ai levé le menton, planté mes yeux dans les siens, redressé les épaules, cambré les reins. Dans son regard, je voyais bien qu'il se passait pleins de choses. C’était clair. Il allait vite me faire regretter mon arrogance et mon air rebelle.« Tu veux jouer à ce jeux là petite pétasse ? Et ...
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