Fanette 07
Datte: 11/10/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Ce récit de 7 jours que je qualifie de rude romantique est basé sur une chanson qui m'a hanté et m'a fait longtemps fantasmé alors que je n'ai retenu que les premières paroles, "Nous étions deux amis... et Fanette m'aimait..." Jour 7 Après une nuit courte et mouvementée, après le déjeuner et ses rites habituels de recherche de jouissance pour notre Déesse, après les douches glaciales, notre Fanette nous distribue nos tâches. Ensuite, un événement inattendu survint. Tandis que nous travaillons ardemment dans la cour, déblayant le sol dans nos équipements habituels, notre Amour apparait dans la robe immaculée de notre premier jour. Elle est si belle, si prodigieuse, si glorieuse que tout homme serait tombé à ses genoux et l'aurait implorée pour ne fut-ce que de poser sa main sur son corps, sur sa peau nue. Quelle chance nous avons, nous qui pouvons la combler de nos services, nous qui pouvons l'aimer, nous qui pouvons recevoir son amour, sa tendresse, son autorité, sa passion! Notre Fanette nous donne quelques derniers conseils, quelques ordres avant de s'absenter. Nous ne savons pas combien de temps. Notre Reine disparaît derrière la porte qu'elle referme à clef et nous pouvons l'entendre s'éloigner, un fort pincement au cœur. Il fait beau, il fait bon, mais notre Soleil est absent. Les heures passent et deviennent de plus en plus ternes tristes, nous ne pensons pas à nous reposer, même pas une minute. Tandis que nous déblayons la cour encore plus rudement comme notre ...
... Amour est absente, la porte de la cour claque. Nous étions si absorbés par notre labeur qu'aucun des deux ne la remarque directement. Quelle n'est pas ma surprise lorsque je la vois et je me positionne à quatre pattes pour la saluer, l'honorer. Mais, derrière notre Déesse, dépassant d'une tête et d'une bonne largeur d'épaule, j'aperçois un homme, un beau jeune homme au visage radieux. Je ne sais pas vraiment comment réagir, Pascal non plus, mais son sourire n'est pas un sourire moqueur, c'est visiblement un sourire connaisseur et appréciateur. Au lieu de me sentir honteux et gêné, je reste figé là, conscient de ma nudité mais pas embarrassé, conscient de mon harnachement mais pas humilié. Notre Fanette nous appelle et je m'avance humblement, mais hésitant, vers mon Amour pour, finalement, ronronner à ses pieds comme nous avons été si bien dressé à faire. Pascal me suit et, tandis que je baise son pied, sentant sa douce et affectueuse main caresser ma nuque, je sens une autre main, tout aussi tendre mais plus rude, caresser ma croupe. Ce geste imprévu me fait frissonner, tant par surprise que par pur plaisir. Ainsi commence ma nouvelle vie, notre nouvelle vie. Tandis que Marcel, l'ami de notre Fanette, l'amant de notre Déesse, notre Maître, travaille avec nous, dirige les travaux et nous commande, nous félicite ou nous gronde, nous menace de punitions et nous fessent rudement ou nous récompense d'une douce caresse, notre Fanette se prélasse amoureusement sur son transat soyeux, ...