1. Les bonheurs de Sophie


    Datte: 11/10/2018, Catégories: f, fh, fagée, fépilée, bizarre, jardin, essayage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, vidéox, portrait,

    Jusqu’à il y a peu, j’ai réalisé, en amateur averti, une série de films pour une femme mariée. Pas simplement des films, mais des films excitants. Ils n’étaient pas seulement excitants puisqu’il s’agissait d’érotisme ou de porno. Ils étaient aussi exaltants parce que son mari n’en savait strictement rien et qu’il fallait qu’il en reste ainsi. Cette femme, je l’appelle Sophie pour cette histoire. Une très jolie femme du début de la cinquantaine, habituellement habillée et maquillée de façon très bourgeoise. Elle avait beaucoup de classe et de charme, presque altière : grande, mince avec des seins bien en vue et une croupe qu’elle savait mettre en valeur lors du choix de ses vêtements. Contrairement à ce que certains pensent d’une femme de cet âge, moi, malgré mes trente-deux ans, je ferais très volontiers l’amour avec elle, surtout connaissant son penchant prononcé pour les jeux d’exhibition, en particulier dans les lieux publics ! C’est d’ailleurs pour cette raison qu’elle a fait appel à mes services. Elle trouvait toujours exaltant de se rendre dans une ville voisine et de sortir dans la rue, l’air de rien, sans culotte ni soutien-gorge sous une robe courte et un peu ample, particulièrement légère et transparente. Le blanc était sa couleur préférée. Un sein qui se dévoile par inadvertance ou une robe qu’un vent coquin soulève dans le seul but de donner à de beaux passants bien plus jeunes qu’elle un aperçu de ses parties intimes soigneusement débarrassées de toute ...
    ... pilosité. Il fallait être aveugle pour ne pas la remarquer. Et l’idée que les gens puissent être réceptifs à sa nudité et l’observer ainsi l’excitait au plus haut point. Se montrer en webcam ne l’intéressait pas, elle avait besoin de voir ceux qui la mataient, de penser qu’ils se branlaient pour elle et elle seule. Ils faisaient monter l’adrénaline en elle et la poussaient à toutes les audaces. Malheureusement, la prudence n’était pas sa vertu première et elle semblait très peu soucieuse des risques encourus. Je me voyais donc investi d’une double mission : cameraman et garde du corps. Car, à présent, elle souhaitait exposer ses prouesses au monde entier en les faisant filmer. Elle voulait par-dessus tout qu’une fois réalisés et montés, les films soient placés sur l’un ou plusieurs des nombreux sites pornographiques dédiés à l’exhibition. Sophie trouvait un plaisir immense à se regarder par la suite sur sa tablette, cherchant le regard admiratif des passants dans le film. Elle privilégiait la vidéo, trouvant la photographie trop statique. D’ailleurs le balancement sensuel de son derrière quand elle marchait, justifiait à lui seul son choix. Mais cela devait se faire de telle manière qu’elle soit totalement méconnaissable sur les images. Une perruque et des lunettes de soleil s’imposaient tout naturellement, car jamais elle n’aurait osé demander à son mari, un haut-fonctionnaire selon elle plus compétent en économie qu’au lit, de jouer les cameramans, d’autant qu’il ignorait tout du ...
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