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Une charmante compagne de voyage
Datte: 11/10/2018, Catégories: fh, inconnu, bus, train, douche, intermast, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, attache, journal, mélo, occasion,
... l’étranger. Elle en retire la ceinture et m’attache les mains aux montants en fer. Un éclair d’inquiétude d’être ainsi à la merci d’un presque inconnue me traverse. Je repense au film Basic Instinct. Alors que je suis ainsi lié, elle se déchaîne à nouveau au-dessus de moi. Je me fais l’effet de n’être qu’un objet mais ça me procure un intense plaisir : la voir ainsi monter et descendre sur mon pieu de chair, admirer ses ondulations de bassin et ses seins qui rebondissent au rythme de cet intense mouvement. Elle ponctue sa chevauchée d’injonctions à jouir en elle, de la remplir, à l’aide de termes fleuris des plus imagés et stimulants. Je sens mon bas-ventre répondre à l’appel : la sève y fait son chemin et se dirige vers sa destination. Dans un râle, je finis par effectivement remplir ce ventre si chaud et accueillant. — J’ai gagné ! me taquine-t-elle.— Ex-aequo : 2-2. Elle se penche en avant et m’embrasse longuement. Elle se relève. — C’est pas tout ça mais il est tard. Un tour à la salle de bain et au dodo !— N’oublie pas de me détacher.— Pourquoi je ferais ça ? Tu as refusé de me prendre le cul. Je suis vexée. Et puis, j’aime bien l’idée de pouvoir abuser de toi autant que je veux.— Et comment je fais pour te prendre dans mes bras pour t’aider à t’endormir ? finis-je par tenter, par manque de ressources.— Excellent argument, me concède-t-elle. J’ai hâte de m’y retrouver toute blottie. Mélanie me détache donc pendant que je lèche ses seins opportunément placés au-dessus ...
... de mon visage. Les nœuds sont plus serrés qu’elle ne l’aurait cru et elle éprouve une certaine difficulté à les défaire. Ou peut-être fait-elle durer le moment volontairement. Une fois libre, je l’enlace à nouveau. Après un court câlin, nous nous dégageons l’un de l’autre tout en essayant de ne pas en mettre partout et de conserver une certaine dignité. Un tour chacun à la salle de bain puis nous revoici au lit. Sous les couvertures cette fois-ci. Nous sommes en cuillère et ses fesses nues et rebondies accueillent mon sexe au repos. Je sens ses cheveux. Ils sentent si bons. Mon cœur se serre à l’idée que, demain matin, je l’amènerai à la gare toute proche et que je ne la reverrai peut être plus. Épuisés par un long voyage mouvementé et une soirée riche en émotions, nous nous endormons en quelques instants. Je me réveille. Le soleil s’engouffre par la fenêtre : je n’ai pas fermé les volets hier soir. Je tâte mon lit à mes côtés. Vide. Je regarde le réveil. 10 h 14. Elle est certainement partie. Partie prendre son train pour le Croisic afin de rejoindre son ami. J’aurais été triste de l’amener mais j’espérais tout de même pouvoir lui dire au revoir. L’embrasser une dernière fois. Essayer de mémoriser la chaleur de son corps, le parfum de ses cheveux. Je prends mon visage dans les mains. J’ai envie de pleurer. C’est ridicule : ce n’était qu’un coup d’un soir. Je me redresse et, assis sur mon lit, je regarde autour de moi. C’est tellement vide. Je me sens si seul. Moi qui m’étais ...