1. Une charmante compagne de voyage


    Datte: 11/10/2018, Catégories: fh, inconnu, bus, train, douche, intermast, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, attache, journal, mélo, occasion,

    ... peux pas simplement lui dire que tu n’es pas intéressée ?— C’est le genre collant. J’ai essayé de lui faire comprendre plusieurs fois mais il ne veut rien entendre. C’est le genre à croire que tout lui est dû. Un gosse de riche.— Ok. Je vois le genre de trou du cul.— Et comme t’es plutôt baraqué, je me disais que ça pourrait l’intimider.— Je suis moyen chaud pour me faire passer pour ton copain. Mais bon, je suppose que ce serait plus crédible que si je me faisais passer pour ton frère.— C’est sûr ! Demi-frère, à la rigueur.— Bon, ok sur le principe mais je bosse en semaine. Sauf si c’est aujourd’hui.— J’ai pas cours… À la rigueur, il y a un Tonus Pharma jeudi soir. Tu pourrais m’y accompagner.— Éventuellement, même si je suis pas très branché fêtes. Mais ça obligerait à jouer le jeu toute la soirée, du coup ?— Ah oui, du coup… C’est grave ?— Va juste falloir qu’on se concerte un peu. Mais pas tout de suite, si ça ne te dérange pas.— Oui oui, bien sûr ! T’as besoin d’un peu de compagnie ? finit-elle par demander, après un temps d’hésitation.— Non merci. Je vais prendre mon petit déj’ et aller prendre l’air. Mon sac va donc rester là encore une semaine, au moins. Jusqu’à ce je me sois acquitté de ce service. D’ici là, l’épisode Mélanie sera loin et je ne serai certainement plus d’humeur. Je dis au revoir à Lola en lui faisant la bise alors que sa joue s’attarde plus que de raison et que sa main vient caresser mon bras. Elle finit néanmoins par redescendre les escaliers pour ...
    ... rejoindre son minuscule T1. Je rentre dans le salon afin d’aller me préparer un café lorsque je trouve, près du canapé, la valise de Mélanie. Je reste interdit un instant. Si ça se trouve, elle est dans la salle de bain ? Non, elle était ouverte et ses vêtements ont disparu. Je suis seul dans l’appartement. La réponse me vient de l’interphone qui se met à sonner. Je décroche. — Oui ?— C’est moi. Mélanie.— Je t’ouvre. Elle monte les escaliers puis frappe à la porte. Je lui ouvre. — Salut, beau gosse ! Je suis déçue : moi qui espérais que tu m’ouvrirais à poil !— C’est la voisine du dessous qui y a eu droit.— Sans déconner ?— Je croyais que c’était toi. Même si je pensais que tu t’étais enfuie. J’essaie de ne pas montrer la blessure que cela m’avait fait. — Oh! Je suis désolée ! J’étais convaincue que tu dormirais encore à mon retour. Tu sais, j’ai même essayé de te réveiller en te faisant une pipe, ajoute-t-elle avec un clin d’œil. Mais tu dormais trop profondément. Elle me montre alors ce qu’elle tient dans sa main : un sac en papier dont le fond devenait transparent à cause du beurre suintant de viennoiseries à l’odeur alléchante ainsi que qu’un autre, arborant la croix verte des pharmacies. Je m’inquiète en silence de la présence de ce dernier. — Des croissants pour le petit déj’, fait-elle en me tendant le premier sac. Et ça pour après, ajoute-t-elle en me tendant le deuxième.— Des capotes ? Pourquoi faire ?— Tu me dois toujours une sodo. J’en ai encore envie. Et comme ...
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