1. Je raconte mes expériences de pute à ma femme. (1)


    Datte: 03/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    Je continuais à confier mon passé de salope a ma femme. Il fallait qu’elle sache. Elle m’écoutait toujours une main entre les cuisses ou un gode dans le cul. Elle me disait que mon histoire, mon vécu était porno. Et qu’elle fantasmait sur moi en salope depuis longtemps. Après cette formidable séance au bord de la rivière, Hugo et moi avons continué à nous livrer à des jeux très chauds. Il savait que j’étais salope dans l’âme. Il ne me dominait pas, il suggérait. Et je disais toujours oui. Il avait son permis de conduire. Son père lui avait acheté une voiture. Le coffre était plein des revues porno dont il était friand. Il y puisait ses idées. Il avait même acquis un appareil photo et un caméscope. La famille d’Hugo est très aisée et l’argent n’était pas un problème pour lui. Ma situation était différente. J’étais d’une famille plus modestesans être pauvre non plus. Un jour où nous nous balladions en voiture, il me demanda si j’aimerais faire la pute. Je ne répondis pas mais comme j’étais toujours nu quand nous roulions en campagne, il vit que ma queue réagissait. — Ça t’excite ? — En fait ... Oui. — Moi aussi. J’ai vu une annonce pour toi. Un groupe de types qui travaillent sur un chantier qui cherche une pute pour les week-ends. Je ne répondis pas mais bandais encore plus. — Tu es vraiment une salope, dit-il en me caressant la queue. Tu leur montreras comment tu te suces le gland. Et comment tu te défonces. Il avait eu droit à plusieurs shows et avait apprécié mes ...
    ... performances en se branlant. Il m’enculait régulièrement et nous étions très liés finalement et très complémentaires. J’avais pris goût à la fellation et il trouvait que je sucais bien. J’aimais recevoir son sperme sur le visage et il me jouissait dessus presque tous les jours. Parfois même dans les rues un peu tranquilles. Il voulait aussi me baiser dans la rue. Enfin la liste de ses envies semblait infinie et je le laissais réfléchir et me contentait de réaliser ses envies. Un jour, il décida de m’emmener dans un bois connu pour abriter des rencontres gays. Mon corps mince, totalement imberbe, ma tête d’ange auraient du succès. Il me débarqua au début de l’allée. Je devrais marcher jusqu’à une clairière au milieu du bois. Il me dit de me mettre torse nu. Je portais un short de sport découpé sur les côtés. Ainsi quand je marchais, voyait on la naissance de mes petites fesses rondes et lisses. Il y avait plusieurs voitures cachées dans les entrées de chemin. Je marchais tranquille. J’entendais des personnes marcher. Il y eut des petits sifflets. J’aperçus un homme en lisière. Il était nu et se caressait. — Viens me sucer, dit-il. Je continuais tranquillement. Puis je voulus encore plus et décidais de retirer mon short. J’étais nu. Je bandais fort. Il faisait chaud, l’endroit était chaud. Des hommes apparurent. Ils sortaient du bois. Souvent des quadras. J’aperçus la clairière et la voiture d’Alban. Il m’attendait assis sur le capot avant. Les hommes, sentant le gros coup, suivaient. ...
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