Patrick revient pour tenir sa promesse de nous sodomiser
Datte: 12/10/2018,
Catégories:
ffh,
grossexe,
Collègues / Travail
fsodo,
historique,
... pleure de douleur sans un cri mais le garde en elle. Il lui semble subir un supplice, le supplice du pal ; elle qui adore se faire enculer par mes godes, mais le sien est XXL, ce n’est plus du plaisir : c’est du pur bonheur, mais c’est en même temps horrible de souffrance. Doucement, il rentre centimètre par centimètre avec une lenteur exaspérante toute la longueur de sa colonne de chair interminable. Elle attend que la douleur s’estompe ; son cul est plein, elle sent le pieu dans son ventre, il va-et-vient, il entre de mieux en mieux, sa rondelle se dilate autour de ce pieu titanesque, enfin elle prend son plaisir. Il alterne entre son cul et sa chatte. Plus il effectue des passages dans sa chatte et plus le retour dans son cul est facile. Elle se délecte de l’alternance de pénétration entre ses deux trous. Quand il estime que son cul est assez lubrifié, il commence à la limer de plus en plus vite et de plus en plus fort. Elle hurle de douleur et de plaisir ; j’ai l’impression qu’il la déchire sous les coups de boutoir de son énorme jonc que je qualifierais de batte de base-ball. Il la besogne de longues minutes, dix ou quinze, je ne sais plus, avant de se retirer. — À toi, la doctoresse ! Il est là, debout devant moi, avec son braquemart géant encore raide qui pointe dans ma direction. Je suis incapable de détacher mon regard de son chibre, obnubilée par une seule chose : m’emparer de son truc, le peser, le tâter, le branler, faire sortir cet énorme gland de sa peau, ...
... prendre sa queue de cheval dans mes mains. Je palpe son lourd paquet de couilles. Quelle masse de bite et de couilles il a ! Il me fait me pencher le ventre appuyé sur la table, étale de la mouille et de l’huile sur mon anus et y enfonce son majeur tout entier, puis un deuxième doigt. Il les fait aller et venir, puis tourner dans mon cul. Je sens un troisième doigt s’y introduire. Je n’en ai jamais eu autant dans le cul. La sensation est très étrange ; je ressens un peu de douleur, mais c’est si spécial… Je me sens souillée. Il prend appui sur mes épaules avec ses mains. Mon trou est encore élargi, et Patrick tente d’y introduire son gland bien lubrifié. Je l’entends souffler fort, mais mon anus ne cède pas devant sa queue qui plie mais n’arrive pas à entrer. Il gémit et essaie de s’enfoncer à nouveau, mais je suis si tendue que je ferme le passage. Je sens le corps de Patrick se tendre également ; je comprends qu’il s’énerve. Il lubrifie abondamment mon cul et sa bite à nouveau et appuie de toutes ses forces. La douleur est terrible, mais je ne veux pas crier, ni le supplier d’arrêter. Je pose une main sur cet imposant phallus pour contrôler l’intromission si douloureuse ; il pousse violemment en avant et ouvre enfin ma fleur. Le gland massif s’écrase en se frayant un passage et efface l’anneau qui l’avale puis regonfle à l’intérieur de mon cul. Je pousse un hurlement de folie. — Oooouuuh ! S’il te plaît… Non, je t’en prie… J’ai mal… J’ai trop mal… S’il te plaît, nonnnnnnnn… Tu es ...