1. Fiancée volée 1


    Datte: 03/08/2017, Catégories: Première fois

    ... a repris la parure, en a fait un paquet cadeau dans lequel il a glissé gratuitement un œuf vibromasseur. Benoît m’a expliqué à quoi ça servait. En attendant le mariage je pourrais l’utiliser pour patienter. - Mais cet engin me ferait perdre ma virginité. - Parce que Jean … pas possible. Ma pauvre fille. Continuons ton éducation, petite innocente. Un autre peep show annonçait la présence d’un couple sur scène. La visite s’imposait pour la petite provinciale. Dans une cabine de même type, un lit en mouvement exposait une femme couchée sur le flanc qui accueillait par derrière l’intromission massive dans son vagin d’un membre de grande taille, une sorte de monstre, au moins deux fois plus épais que ce que tu m’avais montré en me disant au revoir la veille de mon voyage. La position exposait crûment les abords du sexe, le haut et le bas de l’intérieur des grandes lèvres. Le tringleur plongeait sa pique énorme au milieu d’une sorte d’escalope de veau, rose et luisante, taillée en losange qui épousait en s’écrasant ou en se retournant le va et vient de l’effrayant piston. C’était terrifiant et pourtant la fille semblait indifférente et laissait retomber sa cuisse sur celles de son agresseur. Comment faisait-elle pour recevoir aussi facilement un instrument de cette taille? Emboîtés comme deux cuillers ils tournaient sous nos yeux sans nous voir, avec la nette intention, m’expliquait dans l’oreille mon coach, de faire durer l’accouplement. On les voyait passer de face puis de dos, ...
    ... toujours unis par les sexes. J’étais émue et remuée de sentir en même temps les mains de Benoît sur mes seins, sur mon ventre, sur tout mon corps. L’espace manquait. Placé derrière moi, il triturait mes seins d’une main et simultanément par-dessous ma jupe troussée à l’avant il passait un majeur sur mon string, le poussait de côté pour émouvoir mon clitoris. Les deux mains qui m’échauffaient et la verge bandée contre mes fesses me faisaient perdre la tête. Benoît mordillait ma nuque et murmurait des mots d’amour à mon oreille. C’était une chanson douce, ça n’avait pas de sens, j’étais trop fascinée par le recul des fesses fermes de l’homme et ses coups en direction de la zézette béante, je cherchais à savoir quelle était la longueur du gourdin, je me demandais si mon vagin pourrait l’accueillir en entier. J’attendais qu’il se montre en entier avant d’aller buter au fond de l’amusoire. A chaque tour je revoyais les deux sexes imbriqués, le mouvement de piston du membre mâle dans la gaine assaillie. Benoît payait sans compter, il voulait que j‘assiste à l‘orgasme de la femme. Ce serait une excellente préparation à notre mariage. Je pensais avec tristesse à toi, aux raisons de ton absence, au jour où nous ferions l’amour comme ces deux là. Si une des mains avait de nouveau capturé tendrement mes seins et les massait, l’autre cette fois avait relevé l’arrière de ma jupe, fait monter l’entrejambe de mon string sur la fesse et dégagé ma vulve. Un doigt m’avait frôlé l’anus sans s’y ...