Le Séminaire - chapitre n°9
Datte: 12/10/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Hardcore,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... place en face de lui. J’obéis bien que je ne sois pas sous ses ordres directs.Il me parle de choses et d’autres, mais évite le sujet dangereux.A plusieurs reprises, il me demande de me lever pour voir un document sur son bureau ou de lui expliquer comment faire son reporting d’affaires.Bien évidemment, à chaque fois je suis penchée au-dessus de son bureau et il ne se gêne pas pour plonger son regard dans mon décolleté a demi ouvert.Moi : (agacée) C’est bon ? Tu as tout vu ?… c‘est ce que tu voulais ??? Tu te rince bien l’œil ?Cédric : (amusé) Ne joue pas l’effarouchée, si tu n’as pas mis de soutif c’est bien pour qu’on te matte, non ?La semaine dernière t’as donné des envies ???Moi : (piégée) Pas du tout, c’est juste que je ne pensais pas devoir me pencher autant aujourd’hui… et encore moins devant toi.Cédric : Ah bon et pourtant tu es, je crois, un bien joli fantasme pour les hommes ici. Tu en joue un peu, non ?Moi : (surprise et énervée) Tu arrêtes avec ça !! Je ne suis plus à ton service, tu comprends cela petit con. ! Toi et ton père vous avez assez abusez de moi. J’ai trop de problème à cause de vous. J’arrête tout ! »Me relevant, furieuse, je quitte le bureau dans un état de nerfs indescriptible, entre les larmes et la rage qui me ronge le ventre mais je dois rapidement me ressaisir car dans le hall Sarah et Philippe me dévisage déjà.Philippe : « Bonjour Estelle, ça va ? Que se passe-t-il encore avec Cédric ?Moi : Non… rien … rien du tout…Philippe : bon… vous passerez ...
... à mon bureau tout a l’heure… je reçois les acheteurs du groupe STEIN, pour le projet immobilier des « Oliviers ». Vous leur expliquerez les modifications budgétaires dont on a parlé ensemble.Moi : Oui… heu… ok, je viendrais…Philippe : ils seront là vers 15h00 mais venez avant qu’on accorde notre discours… disons vers 14h30 si cela vous va. »Philippe, serein et professionnel, ne fait aucun écart de langage ou de geste déplacé… il a certes un peu les yeux qui dérive vers ma poitrine mais la proximité de Sarah a côté de lui l’empêche de toute allusion ou tentative à mon égard.La matinée s’achève tranquillement, déjà 12h25 et je pars me réfugier dans ma voiture pour le déjeuner. Bien que je n’aie pas d’appétit, je me force à avaler une pomme et un yaourt afin de ne pas tourner de l’œil durant l’après-midi que j’imagine déjà éprouvante.13h20 : L’heure de la reprise. J’ai les jambes qui tremblent, j’ai hâte d’être à 18h00 pour m’enfuir de ce lieu qui me répugne chaque jour d’avantage.A mon bureau, je relis mes notes, mes mails et mes dossiers (bref mes banalités journalières) tout en buvant un café.Sarah, non loin, m’observe et se retient de venir pour savoir pourquoi je suis tant réservée et discrète aujourd’hui.Arrive enfin Cédric suivi de son père. L’avantage d’être le fils du boss est bien sûr de n’avoir pas de contrainte horaire… mais je n’y prête plus attention, blasée par l’habitude de leurs attitudes hautaines de petits bourgeois.Philippe : «Estelle, vous pouvez venir dans ...