1. COLLECTION DOMINANT DOMINE. Ma belle-mère croit me piéger (2/2)


    Datte: 13/10/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... situations insolites de venir tourner des petits pornos avec deux femmes souhaitant filmer leurs ébats pour qu’elles se regardent dans leurs vieux jours. Parmi eux un black qui semble aussi beau que celui qui s’occupe de Léopold, mon époux et avec lequel il vit de façon permanente chez lui. Ces films s’appellent. « Ma belle-mère se fait prendre en levrette par un noir pendant que sa copine se fait enculer par un autre homme ». Et point d’orgue celui qui est le plus réussi, car je prends de l’assurance avec la caméra. « Ma belle-mère se fait prendre en double pénétration par deux hommes et elle en redemande. » Oui, j’oubliais Micky pour rentabiliser les deux hardeurs qu’elle a dédommagés leur fait tourner. « Ma belle-mère regarde sa copine se faire mettre en double vaginal avant de se faire mettre en double anal. » Ayant deux hommes à notre disposition, nos victimes étant épuisés, nous profitons de ces beaux mâles pour une soirée qui me rappelle celle d’avant mon mariage. Trois mois plus tard, j’annonce à belle-maman que je suis enceinte, mais c’est en pleurs qu’elle me reçoit. Son fils vient de lui téléphoner que son ami lui a refilé la maladie dont évite ...
    ... de parler les gens de son milieu et qu’il lui reste peu de mois à vivre. La naissance, elle le sait, peut difficilement venir de son fils, mais sa descendance est aussi importante que lorsque je lui donne un petit-fils bien qu'il soit un peu bronzé alors elle se garde bien de me faire la moindre remarque, film oblige. Depuis la naissance, Micky et moi, nous avons pris en main la destinée de sa descendance et de sa maison, car la mort de son fils cloue Gisèle dans une chaise pour le restant de ses jours. Je suis magnanime chaque matin et soir une infirmière privée viens pour la lever lui placer son goutte-à-goutte pour qu’elle soit alimentée. Marguerite a disparu de notre vie sans qu’il sache que j’avais un fils, car pour tout le monde, je suis la veuve de Léopold qui avait avant de mourir, assurer sa descendance. J’écris mon histoire depuis la terrasse de ma propriété de Cabourg, plutôt la propriété de mon fils, car lors de mon mariage Gisèle m’avait fait signer devant notaire que ses biens reviendraient à ma descendance. Je suis tutrice de ses biens jusqu’à sa majorité, ce qui représente un grand morceau de vie à profiter de la quiétude des gens nantis. 
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