1. Les Vacances d'un futur ancien puceau (6)


    Datte: 13/10/2018, Catégories: Hétéro

    ... une femme à la jouissance uniquement grâce à mes lèvres. Je tentai de l’aspirer délicatement, et Louane sembla prendre plus de plaisir. Mon menton frottait contre ses lèvres, et un peu decyprine s’y colla sans que cela ne me dérangeât aucunement. Je poursuivis ce petit massage pendant plusieurs secondes avant que Louane ne m’arrêtât en plein élan, sans doute préférait-elle passer à autre chose afin de prendre plus de plaisir. — On va passer à l’acte, m’indiqua-t-elle en se redressant. Toi, allonge-toi comme tout à l’heure, je m’occupe du reste. Je fus rassuré en apprenant que ma partenaire comptait prendre les commandes. Dans le cas contraire, j’aurais assurément fait les choses de travers, et cela n’aurait qu’entravé notre dernière nuit ensemble. Je me mis en position, allongé sur le dos et le sexe dressé en l’air. J’eus à peine le temps de respirer que Louane m’enjamba. Son entrejambe se situait quelques centimètres au-dessus de mon nombril. Mes yeux, malgré eux, fixaient la paire de seins de la jeune femme. — Tu vas voir, tu vas passer un moment magique. Elle me sourit après avoir achevé sa phrase. Puis, l’une de ses mains attrapa ma verge et la pointa vers le plafond de la chambre. Elle bougea alors son bassin afin que sa fente fût juste au-dessus de l’extrémité de mon gland. Bientôt, nos deux sexes entrèrent en contact. Une douce chaleur naquit déjà en moi. Louane avait les yeux rivés sur moi. Plus son bassin tombait, plus son regard brillait. Je sentis les parois de ...
    ... son vagin résister légèrement face à l’intrusion dont ce sexe féminin allait être victime, puis, après quelques secondes, mon gland la pénétra. Elle poussa un léger gémissement tandis que, de mon côté, ce fut une déflagration qui balaya mon corps. Plus je m’enfonçais, plus je sentais ses parois intimes compresser mon sexe. C’était absolument divin. Jamais je n’avais ressenti pareille sensation. Une chaleur douce et humide prenait possession de mon corps sans que je n’eusse mon mot à dire. Louane, qui se languissait de mes expressions faciales, entama alors un mouvement de hanche du haut vers le bas. Je me sentis alors coulisser à l’intérieur de son sexe bouillant. Je me sentais comme aspiré par cet organe sexuel, comme si son vagin souhaitait dévorer mon pénis. Et c’était exquis. Je ressentais chacune des contractions de son intérieur tandis que j’allais et venais en elle. Une intense chaleur naquit bientôt dans la partie basse de mon corps, et elle gagnait en intensité au fur et à mesure que Louane se mouvait sur moi. Je sentais ses sécrétions couler jusque sur ma peau, et cela ne m’aida pas à me calmer. La chaleur de la partie basse de mon corps prit tellement d’ampleur qu’il devint rapidement impossible de l’ignorer. — Louane, je ne vais plus tenir, annonçai-je en ayant conscience que je n’avais pas tenu très longtemps. — Quand tu veux, annonça-t-elle. Je prends la pilule, alors tu n’as pas à t’en faire. À peine eut-elle achevé sa phrase que je sentis mon sexe au bord de ...