1. Les nièces jumelles : saison 3 (1)


    Datte: 13/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... sperme glisse sur ses seins, ils continuent de la besogner comme des chiens en chaleur. Quelques minutes plus tard, un deuxième lui jouit dans la chatte : — Oooh ! Oui ! Putain ! Je me vide les couilles dans ton vagin ! C’est trop bon ! Ouiiii ! crie-t-il. Il reste fiché au fond d’elle le temps que ses bourses crachent leur venin, puis il se retire, épuisé. Avec les coups de butoir qu’elle prend dans le cul, il ne faut pas longtemps pour que des filets de sperme ne s’échappent de sa chatte à la vue de tous. — Megan... je ne vais plus tarder à jouir, moi non plus, me confie Bruno. — Oui, vas-y, j’ai envie que tu jouisses Bruno. — Je peux ? Dans ta chatte ? — Oui, mais je préférais t’avaler, j’ai envie de gouter ton sperme. Tu ne voudrais pas ? — Sérieux ? Oh oui ! — Laisse-moi faire alors, je vais te faire jouir. Il s’installe confortablement sur son siège tandis que je me mets à genoux pour le sucer. Il a une belle bite, j’ai hâte de la faire éclater. Il m’a bien faite jouir. Certes, il n’a pas été le seul, mais il mérite néanmoins une récompense. Je le branle fort à deux mains tout en le pompant, il est à l’agonie le pauvre. Quand je sens qu’il va gicler, je sors son sexe de ma bouche et pointe son gland devant mon nez. J’ai le réflexe de sursauter lorsque je vois une première trainée de sperme exploser de son méat ; elle m’atterrit sur la joue. Il en expulse une seconde bien copieuse sur mon menton. Il râle de bonheur en voyant sa copine se recouvrir elle-même de sa ...
    ... semence. Je dois être malade, mais j’aime ça, être couverte de foutre chaud. Il se laisse se vider entièrement les couilles sur moi. Lorsqu’il a fini, je nettoie sa queue avec ma langue. Je me régale du gout de ma sœur en plus du mien et de celui de son jus salé. Je m’étale le sperme qui a coulé sur mes seins pour bien l’exciter, puis en porte à ma bouche le surplus que j’ai sur les doigts. Tous les deux repus, je viens me coller contre lui comme son amoureuse. Il m’enlace dans ses bras. J’observe les deux couples qui restent en compétition : Lucy et son amant, et Christine et David. La belle brune se fait forer la chatte par derrière par un véritable marteau piqueur. Le torse affalé contre une table, elle lève les yeux au ciel, perdue dans son plaisir, pendant que son mec la prend par derrière. Je commence à comprendre pourquoi elle reste avec lui. Il n’est peut-être pas très beau, mais il a un bel engin, et il sait manifestement s’en servir. Elle a une expression terriblement érotique. On sent à quel point elle en raffole. David, lui, ressemble à un petit animal. Il la veut, il a besoin de saillir sa femelle pour lui faire sentir son désir ; ses coups de reins sont puissants et sa poigne sur ses hanches ferme. Sa façon qu’il a de la posséder est magnifique. Il la prend comme si son vagin était son trou à lui, rien qu’à lui, et elle, elle ne demande qu’à lui appartenir. — Vas-y, mon chéri. Baise-moi fort ! Oui ! C’est bon ! fait-elle. — Han ! Han ! Je t’aime ! Je t’aime ! grogne ...
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