1. L'amour d'un père (9)


    Datte: 14/10/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... salauds ! Ils se retirent enfin de moi et s’arrêtent de me baiser. Je ne sais pas si c’est un soulagement ou une torture. Je me sens vide. Ils observent un moment leur travail avec une certaine fierté. Mes trous sont béants au point que je ne sais pas s’ils vont se refermer un jour. Mon frère me tire hors du lit de force tellement je n’ai plus la force de bouger. Je me mets à genou et entreprends de les sucer tous les deux. Je passe d’une bite à l’autre en les fixant dans les yeux. Ils sont si durs... J’ai hâte de les faire ramollir en les faisant éjaculer. Je ressemble à une chienne à la recherche de sperme. — Erika ! Viens ici ! Je jouis ! s’exclame Lucas. J’accours pour lui faire face. Je suis accroupie, les bras entre mes jambes écartées. J’ouvre la bouche docilement en sortant la langue comme un gentil animal de compagnie qui attend sa récompense. Il me gicle dessus puissamment. J’ai un reflexe de recul en fermant les yeux pendant une seconde. Je n’ose pas rouvrir le gauche, je sens du foutre sur ma paupière. J’ai en gros plan le méat de son gland qui déborde de jus d’amour. D’autres salves arrivent. Il m’en met sur mon nez et dans les cheveux. Certaines m’arrivent directement dans la gorge. Il grogne comme un lion. Il me donne tout ce qu’il a. Je suis presque déçue quand il n’en sort plus rien. Je le prends en bouche pour aspirer ce qui reste dans son conduit. J’en ...
    ... profite pour le gouter, il est délicieux. Je croise son regard, il a l’air plus qu’heureux. Je n’ai pas le temps de me reposer que le tour de mon frère arrive. Il me tire par les cheveux pour me coller sur son sexe et m’éjacule à la figure. Il est tout aussi abondant que Lucas. Il m’éclabousse le visage et je suis obligé de fermer l’autre œil. Je garde la bouche grande ouverte quoiqu’il arrive pour récolant autant de sperme que je peux. J’avale quand je sens que la douche est finie. Je les entends gémir et soupirer. Mes deux amours sont comblés. Je me dégage les yeux avec mes doigts et les rouvres tout doucement. Je regarde l’étendue des dégâts. Ils ne m’ont pas ratée ! J’ai du foutre qui coule sur mes seins. Je me l’étale pour les exciter un peu. Je joue avec ; j’attrape des filets pour les avaler ; je suce mes doigts comme une petite chatte qui fait sa toilette. Il me traite encore de tous les noms. Ils doivent regretter d’être mous à l’heure qui l’est. Je suis si heureuse. Je voulais être leur chienne à tous les deux et c’est exactement ce que je suis devenue. Ils commentent leur performance entre eux pour partager leur bonheur. Après quelques minutes de discussions, ils se rhabillent tandis que je m’éclipse vers la salle de bain en priant de ne croiser personne. Sous la douche, j’ai encore la tête dans les nuages. Je dois être une perverse, car je pense déjà à la prochaine fois. 
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