1. Vacances à trois - Préambule


    Datte: 03/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... mise a genou au sol et en venant vers moi, mettant ses mains sur le haut de mes cuisses, m’a dit : -‘Je suis sure que je peux te convaincre’ Je suis restée sans bouger une seconde, je n’étais vraiment pas habitué a ça. En la fixant dans les yeux, j’ai répondu : -‘Qu’est ce que tu me proposes ? ‘ Marine: Je ne sais pas ce qui m’avait pris, j’étais pas costumière du fait, mais j’avais eu une pulsion, une envie de lui tellement forte, il m’avait tellement manqué. Alors que je déboutonnait son jean et sortait son sexe a moitié bandé, et que je commençait a le branler très doucement : -‘si je te fais jouir en moins de 5 minutes, tu lui envois un message pour la convaincre et lui dire que ça te ferait plaisir qu’elle vienne, ça te va ?’ Nicolas: A peine j’avais eu le temps de dire ‘ok’ qu’elle avait commencé à me sucer comme elle l’avait rarement fait. J’étais tellement surpris… dans le bon sens, bien sur. Elle avait vraiment envie de me convaincre, et en effet, elle mettait toutes les chances de son coté : sa bouche, bien serrée autours de mon sexe, allant bien plus profond qu’à l’habitude, une main bien serrée autour qui accompagnait le mouvement, et la dernière main en dessous des mes couilles. Ça allait être dur de tenir 5 minutes a ce rythme, alors, autant de pas lutter et apprécier ça pleinement. D’ailleurs, j’avais l’impression qu’elle appréciait ça aussi, ses regards dans les petits moments de pause, son sourire… même comme ça ...
    ... elle était douce. Elle était mignonne à tourner la tête pour s’essuyer la bave qui pouvait couler. Qu’est ce qui la pousse garder cette coquetterie alors qu’elle enfonce ma bite presque au niveau de sa gorge ? Peu importe au fond, toujours est-il que dès qu’elle se remettait a l’oeuvre, je montais a chaque fois plus proche de l’orgasme. Elle s’en est rendu compte, et a redoublé d’effort -‘bébé tu vas me faire jouir !’ Pour toute réponse de sa part, un léger recul de son visage pour mettre mon sexe au dessus de ses seins toujours bien au chaud dans son chemisier noir. Puis elle se remit a sourire, ce sourire si juvénile qui a eu raison de moi. Je grognais en laissant aller ma tête en arrière alors que j’explosais sur elle. Quand je revenais à moi, elle me fixait toujours en souriant, mais d’un sourire différent. Un sourire de victoire. Je profitais de ce que je voyais : elle, à genoux, mon sexe dans la main, me fixant du regard avec son sourire satisfait, mon sperme un peu partout sur le haut de son chemisier et son cou, que c’était bon. Après avoir lentement accompagné le retour au repos de mon sexe, elle s’est levée, s’est approchée de mon oreille, et, juste avant de m’embrasser tendrement sur la joue, ma chuchoté : -‘Je pense que tu peux lui écrire tout de suite mon chéri’ Puis elle se dirigea vers la salle de bain. J’étais vaincu, je prenais mon portable, et écrivait un message pour finir de convaincre Lucie de venir avec nous. 
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