Black Angel, justicière et soumise (7)
Datte: 14/10/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... exigé ? As-tu bien obéi ? m’interrogea-t-elle. — Oui, Maîtresse Alexa. J’ai scrupuleusement respecté toutes vos directives ! — Eh ben qu’est-ce que t’attends pour ouvrir ? Le déluge ? s’impatienta-t-elle. Montre-moi et que ça saute ! Je scrutai rapidement autour de moi afin de m’assurer qu’il n’y avait personne, et entrouvris un peu mon imperméable afin de lui laisser voir la moitié d’un sein, lui prouvant ainsi ma bonne foi. Elle me colla une gifle. — Non mais, tu te fous de ma gueule ou quoi ? Je t’ai dit de l’ouvrir, connasse : alors fais-le vraiment, et tu ne le refermeras que lorsque je te le dirai ! Putain, Océane, tu me fatigues, fais un effort, mets-y un peu du tien, parce que sinon, je te jure que tu vas le regretter, si tu vois ce que je veux dire ! gronda-t-elle la mâchoire crispée. À la fois honteuse mais excitée à l’idée que quelqu’un me voie, j’ouvris mon manteau en grand, comme une véritable exhibitionniste et restai ainsi le temps pour elle de bien m’observer. Je rougissais atrocement ; n’importe qui pouvait passer, surtout une voiture de police. Elle hocha de la tête de manière positive, m’annonçant l’autorisation de le refermer. — Pas mal, tout ça ! me complimenta-t-elle avec un petit sourire carnassier. Bon, est-ce que t’as pissé ? — Non, Maîtresse Alexa, j’ai réussi à me retenir, mais j’en ai vraiment très envie. Puis-je rentrer chez moi, maintenant, s’il vous plaît ? Elle se mit à glousser niaisement. — On peut savoir qui t’a dit que tu allais pisser ...
... chez toi ? Est-ce que t’es débile, ou tu le fais exprès ? — Mais il n’y a pas de toilettes publiques dans les environs, Maîtresse Alexa. — Si, il y en a, et tu vas vite t’en rendre compte. Allez, amène-toi ! Je craignais le pire... Nous avons marché un instant dans le parc faiblement éclairé par des lampadaires, et après nous y être enfoncées elle s’arrêta net en tendant la main. — Ton imper ! Grouille ! dit-elle sur un ton directif. Pour toute réponse, tremblante avec la vessie en feu, je me déshabillai en scrutant sans arrêt autour de moi. Elle allait me faire marcher toute nue dans ce parc, j’aurais dû m’en douter. Je lui donnai mon manteau. Elle fouilla rapidement dans son sac à main et, avec les yeux écarquillés, je la vis sortir une laisse pourvue d’un collier de chien. — Enfile-moi ça, sale chienne ! Il appartient à Spirit, le chien de Deb ; alors fais bien gaffe à ne pas l’abîmer ! — Je... Oui, Maîtresse Alexa. Avec des gestes robotisés, je mis le collier attaché à une laisse tenue par Alexa. J’étais morte de honte ; il n’y a pas de mots assez justes pour décrire ce que je ressentais en cet instant. J’avais envie d’être une petite souris et de me cacher dans un trou pour ne plus jamais en sortir. — À quatre pattes, salope, et au trot ! J’ai immédiatement obéi. Ça allait bien au-delà de tout ce que j’avais vécu ou prévu jusqu’à présent. J’allais devoir me comporter comme une chienne dans tous les sens du terme. Alexa avança et tira sur ma laisse pour me faire signe ...