1. UN ÉTÉ TRÈS CHAUD


    Datte: 15/10/2018, Catégories: Anal Lesbienne Première fois

    Il n’y avait plus eu d’été aussi chaud depuis bien des années. Dès les premières heures du matin, les rayons du soleil se mettaient à inonder les champs de leur généreuse chaleur. Le blé et le lin semblaient même presque souffrir, sans la moindre brise pour faire frémir leurs épis. Les oiseaux eux-mêmes semblaient épuisés et s’arrêtaient de chanter pendant les heures les plus chaudes de la journée.J’avais été engagé comme saisonnier pour toute la période des moissons. Le vieux Ramaillais n’avait plus la force d’entreprendre ce labeur. C’était comme si son regard s’était éteint depuis le départ de sa chère épouse qui l’avait toujours seconder. Il vivait seul avec sa fille depuis quelques années ; la sublime Bella. Avec sa longue chevelure et ses légères robes fleuries, cette adorable fille de la campagne m’avait charmé dès le premier regard. Le jour de mon arrivée, elle m’avait déjà presque hypnotisé en plongeant ses yeux dans les miens, me dévisageant des pieds à la tête alors que je déposais mon baluchon sur le lit de la chambre qu’elle me faisait visiter. Alors qu’elle se penchait pour ouvrir les volets extérieurs afin d’accueillir plus de lumière dans cette pièce au plafond bas, je n’avais pas pu m’empêcher de glisser un œil indiscret sur l’ourlet de sa jupe qui lui remontait jusqu’à mi-cuisse. Je crois qu’elle avait remarqué le trouble qu’elle causait en moi, car quand elle s’est retournée, approchant son généreux décolleté à quelques centimètres de mon torse, elle ...
    ... m’avait gratifié d’un coquin sourire qui avait eu le don de faire naître dans mon dos un long frisson de désir.J’avais déjà fauché plus des trois quarts de la prairie cet après-midi-là. L’eau de la gourde que je m’efforçais de maintenir tant bien que mal à l’ombre était tiède depuis un bon bout de temps. Aussi c’est avec une grande joie que je vis arriver Bella, son panier d’osier à la main. Elle m’apportait une délicieuse bouteille de thé glacé concocté par ses soins, dans laquelle elle avait ajouté une bonne dizaine de glaçons : le rafraichissement idéal ! Je n’avais jamais vu le petit short en jean qu’elle portait ce jour-là ; il était presque indécent tellement il était court, laissant voir la naissance de ses fesses. Sa petite blouse blanche sans manche était courte, elle aussi. Lorsqu’elle m’invita à m’asseoir à ses côtés et qu’elle me tendit un grand gobelet de boissons glacée, je remarquai l’absence de soutien-gorge, ce qui contribua à me troubler encore un peu plus. Elle me complimenta sur le travail déjà accompli ainsi que sur le hâle de mes biceps en sueur. Je la remerciai en balbutiant maladroitement quelques mots, puis avalai d’un trait la moitié de ce providentiel breuvage.A l’ouest, sur l’horizon, se dessinaient quelques vilains nuages bas et sombres, annonciateurs d’un orage. Ils me donnèrent l’occasion de poursuivre la conversation en expliquant que je ne devrais pas tarder à me remettre à l’ouvrage car il allait sûrement pleuvoir avant la fin de la journée. Elle ...
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