1. Romane et les plaisirs solitaires (ch. 5)


    Datte: 15/10/2018, Catégories: Masturbation Voyeur / Exhib / Nudisme

    Chapitre 5Ophélie était levée. Attablée, toute seule, en string et soutien-gorge, devant un bol de café au lait.– Salut ! Bien dormi ?J’ai secoué la tête.– À vrai dire, j’ai pas fermé l’œil de la nuit.– Mon pauvre ! Faut dire aussi… Avec le raffût qu’on a fait toutes les deux. Ah, c’était rock’n’roll.– Oh, mais je me plains pas, hein ! J’en ai bien profité.– Ça, j’me doute. L’oreille scotchée à la porte et l’œil rivé aux photos de moi qu’on t’avait généreusement laissées. Photos qui, apparemment, ne t’ont pas complètement rassasié. Vu les regards goulus que tu jettes sur mes seins depuis dix minutes,.– Mais non, mais…– Ben, tiens !Elle s’est levée, m’a tourné le dos, est allée glisser deux morceaux de brioche dans le grille-pain, m’a laissé me repaître longuement de ses fesses. Est revenue.– L’original, c’est quand même mieux que les photos, non ?Je n’allais pas prétendre le contraire.Elle m’a lancé un bref regard en bas.– En attendant, tu bandes. Et pas qu’un peu !Un autre. Plus appuyé.– J’adore ça leur faire de l’effet aux mecs. Aux filles aussi, d’ailleurs. Mais les mecs, c’est quand même pas pareil.Elle s’est rassise.– Ça te dirait ?– Quoi donc ?– D’en avoir d’autres des photos de moi, mais complètement toute nue, cette fois !Si ça me disait !– Bon, ben allez, alors !Mais il y avait une condition.– Tout ce que tu veux…– Tu les prends à poil, les photos. Que je voie dans quel état ça te met !Ah, comment il a dégringolé le calbut !Elle a éclaté de rire.– T’es motivé, dis ...
    ... donc !Elle a lentement, très lentement, dégrafé son soutien-gorge. M’a fait attendre un temps infini avant de libérer ses seins. De les laisser jaillir. Deux seins en pente douce, délicieusement modelés, aux aréoles ocrées, aux pointes saillantes.– Tu photographies pas ?Hein ? Ah, si, si ! Bien sûr ! Si !Et je les ai mitraillés. À corps perdu.Elle a constaté, amusée.– Elle est contente, ta queue. Elle bat la mesure.Elle s’est retournée. A fait glisser le string qu’elle a abandonné à ses pieds. S’est penchée vers l’avant, me laissant furtivement entrevoir – et photographier – ses doux replis rosés et l’entrée de sa tanière d’amour. Elle s’est redressée, m’a fait face, les mains ramenées en coquille devant elle.J’ai supplié.– Montre ! Oh, s’il te plaît, montre !Elle a un peu écarté les doigts. J’ai deviné, plutôt que vraiment vu, un bout de toison châtain bouclée tout en haut et, en-dessous, le début du fendu qui m’a semblé à nu.Je n’y ai pas tenu. Je me suis empoigné, ai entrepris, sans la quitter des yeux en bas, un rapide mouvement de va-et-vient sur ma queue raidie. Elle a écarté les doigts un peu plus au large. Ça venait. Ça venait. C’était tout près. Elle a retiré ses mains. C’était là. C’était à moi. Offert. Sa chatte. À nu. J’ai gémi et j’ai giclé. À grands spasmes éperdus.Elle m’a regardé me répandre. Jusqu’au bout.– Eh, ben dis donc ! Mais t’as pas pu photographier du coup.J’ai aussitôt entrepris de m’y remettre.– Trop tard !Et elle s’est à nouveau cachée avec ses ...
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