1. Le secret de charlotte (3)


    Datte: 15/10/2018, Catégories: Hétéro

    ... moment, ma résistance finit par s’effondrer. Je me laisse aller, ce que c’est bon. Tout ce que j’ai à faire, c’est me laisser éjaculer. Quand je me sens partir, je la préviens : — Aaah, Ça y est, je vais venir. Allez, bouffe tout, salope ! Je sens mon jus grimper le long de ma tige avant d’exploser. — Aaaaah ! Oui ! Allez ! Bois-moi ! Bois-moi ! Elle est collée à ma queue. Elle me branle fort comme pour essayer d’en faire sortir le plus possible tandis que je me décharge dans sa bouche. Elle boit mon jus comme si c’était du nectar sans jamais déglutir. C’est une véritable déesse du sexe. Je grogne de bonheur, heureux et repus. Lorsqu’elle a fini, elle ouvre grand la bouche pour me prouver qu’elle a tout avaler. — J’ai été bonne, maitre ? Vous êtes satisfait ? — Oh oui, Charlotte. Tu es vraiment la meilleure des salopes. Elle se plaque contre moi pour me faire un câlin. Je la prends dans mes bras. Nous restons silencieux, mais mon esprit se perd dans ses pensées. Il y a quelque chose qui me turlupine et que je dois mettre au clair : — Charlotte, je ne veux plus que tu ailles dans ce club te faire sauter par tous ces mecs, fais-je d’un ton autoritaire. Tu es à moi maintenant, et à personne d’autre. C’est compris ? — Bien sûr. Pourquoi irais-je là-bas alors que j’ai un nouveau maitre pour prendre soin de moi ? Je me sens soulagé. Je ne l’aurais pas supporté. Il est dimanche. Nous passons le reste de la journée chez moi à baiser. Je crois que mes voisins vont devenir fou à force ...
    ... de l’entendre crier. J’adore lui défoncer le cul. Je l’use jusqu’à épuisement. Au soir, il est temps de nous quitter. Je déprime à l’idée de nous séparer. Au moment où elle s’apprête à franchir le seul de la porte, je la retiens par le bras. — Charlotte, je veux que tu viennes habiter avec moi. J’ai dit ça comme ça, sans réfléchir. Cela venait du cœur, mais je ne m’attends pas à ce qu’elle accepte : c’est évidemment beaucoup trop tôt dans notre relation. J’ai un chagrin lorsqu’elle part définitivement. Je me sens soudain très seul dans mon petit studio. Je passe une nuit horrible. Le lendemain, en cours, nous faisons comme si rien ne s’était passé. Je ne sais pas pourquoi nous avons décidé de cacher à nos amis que nous sortons ensemble. C’est une torture. J’ai envie de la câliner, de l’embrasser, de lui dire des mots doux, et je ne peux rien faire. En début de soirée, je vais rendre visite à Benny dans son sex shop. Je tenais à le remercier pour l’aide qu’il m’a... qu’il NOUS a apporté. S’il ne m’avait pas aidé à connaitre la vérité sur Charlotte, nous en serions jamais arrivés là. Je le remercie également pour le lubrifiant qu’il m’a donné l’autre jour. Il a bien servi. Je commence à l’apprécier ce personnage étrange. Lorsque je rentre chez moi, je tombe des nues : Charlotte est là, à m’attendre devant la porte, avec toutes ses affaires. Je ne pensais pas qu’elle m’avait pris au sérieux. Inutile de dire combien j’en suis ravi. Je l’ai fait entrer et l’ai aidée à s’installer. ...
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