1. Un Souvenir de Jeunesse


    Datte: 16/10/2018, Catégories: Première fois

    L'histoire se situe à la fin des années 60. J'étais encore au collège et je devais avoir 13 ou 14 ans, pas tout à fait 14 en réalité. J'allais passer une partie des grandes vacances chez un oncle dans le bordelais, vers le Bassin d'Arcachon. J'y retrouvais une cousine de Dordogne, une petite blonde très vive, fine et délurée qui s'appelait Annie et qui elle, avait un peu plus de 15 ans. C'était déjà une jeune fille : elle avait déjà toutes ses formes, presque une femme, elle était juste au lycée, alors que moi, encore au collège, j'étais un gamin tout juste pubère... Nos relations étaient très amicales et même très étroites sur le plan filial, nous ne nous quittions pas de la journée. Elles étaient même très ambiguës. Bien sûr, les adolescents de l'époque des années soixante, étaient nettement moins émanciper que ceux de maintenant, et aussi bien moins informés sur les choses du sexe...De ce fait, je n'analysais pas du tout ces choses là, et elle non plus probablement. En effet, sans doute dans sa phase de puberté conscience et d'éveil de ses sens, elle laissait davantage libre cours à ses pulsions, et n'avait pas de calcul par rapport au trouble qu'elle déclenchait chez moi... Toujours est-il qu'elle ne prenait aucune précaution pour cacher sa nudité et même ses envies de très jeune femme... Ainsi lorsqu'elle faisait sa toilette les matins ou les soirs elle ne fermait pas la porte de la salle de bain qui était en face de ma chambre. Certes, la maison de l'oncle était une ...
    ... maison ancienne assez vétuste et avec peu de confort, en particulier sur le plan du sanitaire. La salle d'eau, sans aération, qui au bout de 3 minutes tenait plus du sauna que d'une salle de bain. L'air y était rapidement irrespirable, d'ou la nécessité de laisser la porte ouverte... Souvent, elle s'arrangeait dans telle ou telle opportunité pour me faire sentir la pointe de ses seins qu'elle avait très fermes et déjà dressés, jolis et bien formés, de surcroît ; ou encore a frotter ses fesses sur mon ventre ou mes fesses dans certains croisements... Ou bien, quand nous promenions dans la forêt de pins elle ne se gênait pas pour laisser s'envoler sa jupe légère et me laisser voir sa petite culotte de coton blanc, ou encore de s'asseoir face à moi, assise en tailleur, jambes écartées. Et là bien sûr, les bords du fond du slip n'étant pas très élastiques ou très "collants", il m'arrivait fréquemment d'apercevoir sa fente et ses poils naissants. Ce qui me mettait dans l'état que l'on devine. Parfois encore, il lui arrivait de me demander de lui faire la courte-échelle pour grimper aux arbres ou pour passer les clôtures... Il lui arrivait même de baisser sa culotte, de s'accroupir sans aucune formalité et d'uriner ainsi devant moi, sans gêne ni honte... Il faut dire que ces situations m'excitaient sans doute malgré moi, et il n'était pas rare qu'elles génèrent des érections de mon jeune sexe, déjà correctement développé pour mon âge, sans que je sois vraiment conscient qu'elles ...
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