1. Pauline - Années étudiantes (1)


    Datte: 16/10/2018, Catégories: Hétéro

    Bonjour, Voici le premier chapitre de la suite de "Année de terminale". Cette histoire fera souvent référence à la première. Si vous ne l’avez pas lue, vous risquez de ne pas comprendre certaines choses. Bonne lecture. Chapitre 1 J’étais à genoux dans cette salle obscure, les mains ligotées dans le dos, face à ces trois types cagoulés. Ils se tenaient face à moi, l’air menaçant. D’après leur forme, il y a une fille et deux mecs. L’un d’eux commença un interrogatoire : • T’es arrivée quand ? • Hier dans l’après-midi. • T’as bien dormi ? • Bof, à côté, il y avait une fête. • Et tu n’as pas voulu y aller ? • Non. • Tu préférais rester seule à pleurer ta séparation avec ton papa et ta maman ? • Non. Ma mère s’est barrée il y a un an et mon père est assez grand pour se démerder tout seul. • Alors, t’as fait quoi ? • Ca ne vous regarde pas. Mes réponses sèches et désintéressées semblaient les énerver. Ils commencèrent à se déplacer, tournant autour de moi, tapant des pieds pour m’impressionner. L’un d’eux se baissa devant moi, me prit le menton, et m’hurlant dessus me fit : • Qu’est-ce qui te donne l’impression que tu as le droit de ne pas répondre ? • Ben, c’est évident, non ?... La mise en scène est pourrie... Ho, je ne dis pas que certains doivent être drôlement impressionnés. J’ai même entendu une fille chialer tout à l’heure. Ca vous a amusé ? Je dois avoir un don pour énerver les gens, car le type m’a lâchée le menton pour appuyer sur ma tête afin que je la couche sur le ...
    ... sol. Je n’ai pas résisté, je ne voulais pas avoir mal. • Je vais t’apprendre à faire la maline, sale conne. Lorsque tu t’adresseras à moi, tu m’appelleras maître ! Compris ? • Oui, maître. Mais ça ne changera rien... Maître. • Ca ne changera pas quoi ? • Qu’il ne s’agit que d’un bizutage. • Et tu te crois plus forte parce que tu as trouvé ça toute seule ? • Non, pas du tout. Mais c’est juste que je ne suis pas impressionnée et que je n’ai pas peur. Je me suis alors prise une claque sur les fesses qui me fit sortir un gémissement de surprise à défaut qu’elle ne fasse mal. Et une voix féminine, sur un ton sec, fit "t’as oublié de dire maître". Ce à quoi je répondis : "heu, oui... pardon...", une nouvelle fessée, "...maître...". Et le premier mec reprit, mais avec un ton plus doux : • Bien Pauline. Histoire de te motiver un peu plus, dès que tu ne répondras pas aux questions, mes collègues se feront un plaisir de s’occuper de ton cul. C’est compris ? • Oui, maitre. • Comment t’appelles-tu ? • Ben... Tu le sais déjà, tu viens de m’appeler... Aïe ! Pauline... Je m’appelle Pauline... Aïe ! Maitre. • Orientation sexuelle ? • Ca ne te regarde pas. Et je me pris deux fessées : une pour ne pas avoir répondu correctement et l’autre pour avoir oublié "maître". Et les autres questions étaient encore plus intimes : combien de mec je me suis tapée, combien de fois je me masturbais par semaine, comment s’est passé mon dépucelage, mes pratiques sexuelles, sexe de groupes... Tout y passait, je ne ...
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