1. Ma fille, sa copine, mes rêves (3)


    Datte: 17/10/2018, Catégories: Lesbienne

    ... comme elle vous accorde l’honneur de faire des folies avec elle ? Et, fidèle à sa capacité à capter mes pensées, je reçois en fin de journée un nouveau message de Lou : "Est-ce que mes petites photos t’ont fait autant de bien qu’à moi ? Si oui, passe me voir chez moi, mes cons de parents sont de sortie jusqu’à 22h... j’ai trop envie de te voir <3" Voilà donc le message que j’attendais impatiemment et que je redoutais à la fois... cette fois-ci, je n’avais aucune excuse. Si j’y allais, j’étais prête à me compromettre définitivement avec Lou... Mais j’y suis allée. J’ai un peu hésité, j’avais encore du travail, je suis partie en plein après-midi de mon cabinet, mais j’y suis allée. Elle m’a accueillie chez elle comme si j’étais une amie de la famille. M’a proposé quelque chose à boire. Moi, je la buvais elle. Je n’avais dans la tête que ces icônes qu’elle m’avait envoyées aujourd’hui ! Plus on parlait, plus je me rendais compte qu’elle ne tenait pas ses parents en très haute estime. Sa mère surtout. Elle ne se dérangeait pas pour me dire à quel point elle se sentait barrée, fliquée, et en même temps délaissée... je commençais à comprendre certaines choses. Et tout d’un coup elle s’écria : "Mais tu n’as toujours pas vu ma chambre ! Viens, je vais te faire visiter ! ". C’était un peu irréel, je la suivais sans oser me jeter sur elle... Sa chambre était peinte majoritairement en bleu foncé. Ca paraissait un peu sobre, finalement, pour une fille qui était haute en couleurs. Un ...
    ... instant d’observation passa, tel le calme avant la tempête. Lou vint placer ses bras autour de mon cou. "C’est gentil d’être passée me voir. Je me sens un peu seule là." Je ne dis rien. Je me suis contentée de me retourner, de caresser sa joue...étais-je l’amante, étais-je la mère ? Une petite larme coulait de son œil. Elle n’eut besoin que d’un murmure pour m’achever : "Je veux que tu me prennes dans tes bras et que tu me dises plein de choses toutes douces" Elle me plaquait sur son lit une demi-seconde plus tard ! On se dévorait, elle se déchaînait, il n’y avait plus besoin de tendresse. Tout avait déjà été dit, ou non dit. Je n’avais plus autant de retenue que la dernière fois, je me suis très vite ruée sur ses seins, ses si beaux seins, si jeunes, si doux... en fait, je me rendais compte que la visite de Lou dans ma couche fut agréable, mais que l’avoir désirée pendant toute la journée ne rendait la chose que plus belle encore... Elle aimait quand je lui enlevais son soutif, elle aimait quand je lui bouffais ses jolis seins, elle aimait avoir le contrôle sur moi. Et je lui ai donné. Ma rigide tenue de travail éclatait et me laissait dans mes sous-vêtements noirs simples, elle en profita pour glisser ses doigts dans ma culotte. J’avais encore ma bouche sur ses tétons, mais je devais lâcher des soupirs réguliers, pour expirer les vagues de plaisir que me procuraient les doigts de fée de ma partenaire. Quel moment : tous les deux en sous-vêtements (si l’on excepte le cache-gorge ...