1. Déguisement


    Datte: 17/10/2018, Catégories: fh, fhh, inconnu, double, Partouze / Groupe fsodo, jeu,

    ... d’ailleurs, en est-ce une ? En fait, mes protestations n’altèrent en rien les va-et-vient du phallus qui m’écartèle délicieusement. J’y prends un plaisir immense. Le gland frotte bien contre la partie la plus sensible de l’intérieur de mon vagin et termine sa course contre le fond de ma matrice, tandis que la hampe, au gré des mouvements, glisse sur la zone de mon clitoris et me procure des petites décharges de bonheur. Tous ces plaisirs, presque irréels, se joignent pour m’amener sur les chemins tourmentés des délices de la perversité. — Elle a rompu le lien !!! s’exclame bruyamment la jeune fille en remarquant la liberté de ma cheville droite. Elle doit subir la punition… Je ne l’écoute pas, continuant à onduler la croupe pour aller à la rencontre du bassin de Romuald. Soudain, je me rends compte qu’un homme vient de prendre place derrière moi. Trop tard, il s’empare fermement de mes fesses et place son sexe contre mon anus. Cette fois, je me débats mais la petite brune aide l’homme à me tenir tranquille. Je proteste : — Hé ! Non ! Pas ça !!! En guise de réponse, la petite salope m’administre une magistrale claque sur chaque fesse. Elle a dû y aller de toutes ses forces, car durant quelques instants, je ne ressens plus que la douleur de cette correction. Peu à peu, elle finit par s’estomper et laisser place à une sensation de chaleur extrême qui irradie mes deux lobes. La brunette ne m’abandonne pas et c’est même elle qui crache dans la raie de mes fesses pour lubrifier ...
    ... mon anus. Mon agresseur y positionne aussitôt son gland congestionné. Je n’ose plus lutter et j’ai horriblement peur. Trop tard, l’homme pousse et profite d’un mouvement en retrait de Romuald dans ma vulve pour s’enfoncer entre mes reins. Cette pénétration est brutale et profonde. Lorsque le sexe coulisse pour revenir au bord de mon anus dilaté, le pieu de Romuald vient s’écraser contre le col de mon utérus. Ils me besognent ainsi, l’un entrant, l’autre se dégageant et ainsi de suite jusqu’à ce que je finisse par m’y perdre et mélanger les sensations que chacun me procure. Ils font attention de ne jamais s’extraire complètement de l’orifice qui les accueille. Mon ventre est en proie à un dilemme qu’il ne tarde pas à résoudre en me procurant autant de plaisir pour chacune de ces pénétrations. Soudain, les garçons changent de rythme et cette fois, les deux phallus entrent en moi en même temps. Et s’y immobilisent. Je suis pourfendue et j’ai l’impression que je vais me déchirer et mourir. Doucement, ils commencent à bouger ensemble. Ce que je ressens est tellement fort que je ne sais même plus s’il s’agit de plaisir ou de douleur. Jamais je n’ai éprouvé une telle chose. J’en pleure. Heureusement, mes chairs ne cèdent pas. Je bénis leur élasticité car, contre toute attente, elles acceptent l’inacceptable. Le mouvement conjoint des deux virilités est si intense que tout mon ventre en est ébranlé. Ils vont et viennent encore. Maintenant, je n’ai plus le moindre doute. C’est bel et ...
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