Déguisement
Datte: 17/10/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
inconnu,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
jeu,
... venir. Julien me demande de me déshabiller entièrement. Je m’exécute en dissimulant de mon mieux un léger tremblement d’appréhension. Pendant ce temps, Julien agrafe des serviettes les unes aux autres puis en roule certaines. Après quelques instants, il dépose sur mon corps les pièces de papier qu’il vient de composer. Il continue à les agrafer, avec une telle dextérité que j’ai du mal à croire qu’il improvise. Il ne lui faut qu’à peine plus de cinq minutes pour me confectionner une robe échancrée sur les côtés. Ma nouvelle tenue me rappelle étrangement ce que portaient les femmes de l’antiquité romaine. La ressemblance est d’autant plus frappante, que Julien s’est servi des serviettes roulées pour me confectionner une ceinture qu’il noue autour de ma taille et une petite couronne qu’il fixe dans mes cheveux. Je suis stupéfaite par le résultat de cette couture hors normes et j’en oublierai presque que je suis entièrement nue sous ce déguisement en papier soyeux. — À toi de jouer, m’annonce soudain Julien en se déshabillant à son tour. J’ai peur de paraître godiche par rapport à lui. Je n’ai pas autant d’imagination et je ne sais même pas par où commencer. Heureusement, Julien doit deviner mon désarroi, car il me vient prestement en aide. Il m’indique comment m’y prendre pour fixer les serviettes entre elles tout en se fabriquant lui-même un caleçon qui me fait éclater de rire. — Ce n’est pas de la haute couture pourtant, c’est seyant non ? plaisante-t-il. Ensuite, il ...
... participe au montage de sa tenue de papier, nouée sur l’épaule gauche. Elle rappelle également les draperies des Romains de l’antiquité. Nous rajoutons chacun quelques agrafes de consolidation. Julien nous confectionne également, à chacun, un loup derrière lequel nous dissimulons notre visage. Cet accessoire me tranquillise un peu. Malgré tout, lorsque nous sortons de la chambre, mes jambes flageolent à l’idée de me présenter en public dans cet accoutrement. Nous arrivons dans le séjour. La fête bât déjà son plein et à peu près quinze jeunes gens se déhanchent gaiement sous les rythmes entraînants d’une béguine. Il faut dire que les pagnes exotiques ont inspiré une majorité de couturiers d’un soir. Quelques visages sont masqués, mais pas tous, ce qui me surprend un peu compte tenue de l’audace de certains déguisements. À peine arrivés, nous sommes entraînés au milieu des danseurs. Je me laisse vite envoûter par la musique tout en portant un regard curieux sur ceux qui m’entourent. Une jeune métisse, superbe, déguisée en Polynésienne, capte l’attention de plusieurs garçons par les mouvements frénétiques qu’elle impose à son bassin. Elle fait étrangement vibrer les franges découpées dans les serviettes. Lorsqu’elle virevolte, on entrevoit furtivement la nudité de ses fesses. L’atmosphère de cette fête est tout à fait particulière. Une tension sexuelle couve dans chacun des invités pourtant, tout le monde tente de ne rien faire transparaître et continue à danser gaiement. Moi aussi, je ...