1. Les six week-ends marquants d'Emilie (5)


    Datte: 18/10/2018, Catégories: Hétéro

    Contexte : La fin de l’année 2007 est été contrastée. D’un côté, nous prenons toujours autant de plaisir à coucher ensemble. D’un autre, Emilie s’inquiète de ne pas tomber enceinte. Au sortir de l’hiver pourtant, le test de grossesse est enfin positif et un petit garçon, Julien, nait en décembre 2008. La période post-partum est difficile pour Emilie. Elle fait même une dépression. Je la soutiens alors énormément, quand bien même je souffre de la distance qui s’insinue entre nous. Je ne dis rien de mes peurs, mais depuis la naissance, nous faisons très peu fait l’amour et il est clair qu’Emilie le fait sans plaisir. Au printemps 2009, avec le retour des beaux jours, elle retrouve petit à petit de l’entrain et semble refaire l’amour avec un peu plus de plaisir. Aussi, j’organise un petit week-end, histoire de faire un bon break, notre première sortie en couple depuis la naissance de Julien. Week-end : Sur les conseils d’un ami, je réserve un chambre dans un hôtel en moyenne montagne. Malgré une petite embellie sur notre relation, je ne suis pas vraiment serein les jours précédant le départ. Au moins allais-je pouvoir faire part de mes inquiétudes à Emilie. Je rumine tout cela durant la semaine. Samedi matin, j’emmène Julien chez mes parents où il passera le week-end. Je suis surpris qu’Emilie ne m’accompagne pas, mais bon. Lorsque je reviens, j’ai l’agréable surprise de découvrir Emilie vêtue d’un minijupe plissée noire, ainsi que d’un chemisier blanc, une tenue dont mon ...
    ... épouse sait qu’elle me plait. Cerise sur le gâteau, elle a passé des bas résilles et des bottes. Le chemisier attire particulièrement mon attention : Emilie l’avait acheté sur un site de vente en ligne et il était destiné à être porté au travail. Pourtant, elle avait jugé qu’il était trop transparent pour le mettre au travail et elle le portait en guise de sous-pull. Mais là, il n’en est pas question. Et à la façon dont Emilie se tient, il est clair qu’elle attire mon attention sur le soutien-gorge blanc en dentelles qu’elle porte dessous. Le cadeau de son anniversaire qui m’avait couté une petite fortune. Ravi, je prends la valise et nous partons. A mi-chemin, nous nous arrêtons dans un restaurant pour manger et je retrouve une Emilie enjouée et agréable, drôle et taquine. En revenant vers la voiture, nous nous embrassons et je pose mes mains sur ses fesses. Le baiser se poursuit. Je remonte la jupe à sa ceinture. Ses fesses sont complètement dévoilées. Emilie est alors dos à la voiture. Elle me dit : — Le parking est vide, mais si tu veux que quelqu’un puisse apercevoir mon cul, il faut que nous nous tournions. Je reste sans voix et pétrifié en entendant cette remarque. J’étais à mille lieux d’imaginer qu’Emilie pourrait me dire quelque chose comme ça. J’avais oublié. Presque. Emilie nous tourne et ses fesses blanches, ornées d’un string du même coloris, font face au parking. Nous nous embrassons pendant une bonne minute encore sans que personne ne passe derrière Emilie, puis ...
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