1. La mère de ma copine Elodie (7)


    Datte: 18/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... voulait, quand derrière un ficus, elle m’a plaqué contre le mur, pour me voler un baiser. C’était plus fort que moi, je ne savais pas dire non à une femme, ou plutôt j’adorais m’offrir à une cougar. Sur le coup j’ai été surpris, mais je lui ai rendu le baiser avec un grand plaisir, car elle faisait ça avec une grande douceur. J’ai eu l’impression que cela venait naturellement, bien évidemment elle a joint le baiser à des caresses on ne peut plus précises. Et c’est ainsi que le jour de la soirée de mes fiançailles, j’étais en train de me faire abuser par une responsable de multinationale. Le silence alentour était prenant, nous n’entendions qu’un un brouhaha, mais au loin. J’avais l’impression d’être un jeune adolescent en train de jouer à touche-pipi avec une femme qui savait ce qu’elle voulait. Je vous laisse imaginer que mon sexe s’est mis au garde-à-vous en quelques instants, Christiane est rapidement venue le constater. J’en étais à me demander comment cela se faisait que j’aie tant de succès auprès des femmes, moi qui jusqu’à maintenant avais eu un mal de chien à en lever une, si je puis dire. Je suis ce que l’on peut qualifier de timide et limite soumis avec les femmes, manifestement elles le constatent ou elles se passent le mot. En l’occurrence je suis persuadé que Geneviève a passé le mot à Christiane car je trouve que cette dernière a quand même beaucoup d’assurance. Ce que je trouve un peu fort, c’est que mon amante d’un soir ait l’audace de venir abuser de moi le ...
    ... jour de mes fiançailles. Je pense que Geneviève veut que je rentre dans sa famille pour que je sois à sa totale merci et qu’elle puisse faire de moi ce qu’elle veut quand elle le désire. À cet instant j’étais gêné et je culpabilisais par rapport à Élodie, mais au stade où nous en étions, peut-être était-elle au courant. — Mais que faites-vous madame...? Je n’ai pas été capable de me dire autre chose, quand Christiane s’est agenouillée devant moi, j’étais parti pour avoir le droit à une turlutte par une sexagénaire, que je connaissais depuis deux heures à peine, le jour de mes fiançailles. — Ne dis rien et laisse-toi faire mon bel étalon. — Depuis que Geneviève me parle de toi, je n’en pouvais plus d’attendre. C’est sur ces mots qu’elle m’a déboutonné mon pantalon en gardant ma ceinture, qu’avec des gestes d’une grande douceur, elle est partie à la recherche de mon sexe en érection dans une culotte toute douce mais souillée de Geneviève. — Tu sens très fort la femme, mais tu as un très très beau sexe. Maintenant mon sexe avait quitté l’obscurité de mon pantalon, pour se retrouver sous le regard gourmand de Christiane. Durant de longues minutes, elle me l’a caressé, en y déposant de petits bisous de temps à autre. À ma grande honte, elle a récupéré les sécrétions qui se trouvaient à la base de mon prépuce, elle m’a bien montré ce qu’elle faisait, puis elle l’a porté à la bouche pour manifestement s’en délecter. — Tu sais mon chéri, ça, j’appelle ça le beurre du désir. — Quand ...
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