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La factrice.
Datte: 19/10/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes,
Lettre qu’Alice, jolie libertine rencontrée lors de vacances (voir les deux histoires précédentes), adresse à son complice de libertinage. Mon Matou, mon doux coquin, Tout d’abord, je dois t’avouer que te me manques beaucoup… Tu ne me demandes plus devenir bavarder par caméra interposée… Que ce passe t’il ? Plusieurs semaines sans nouvelles… même pas un petit message ! Je n’ennuie de toi… et je vais tenter de t’attirer à nouveau devant la caméra… Alors, je viens te raconter par courrier ma dernière aventure sexuelle. Tu sais que de temps à autre, j’aime bien faire l’amour avec une femme : je suis un peu bi sur les bords… mais quand même avec une très nette préférence pour les hommes ! N’en as-tu pas profité coquin ? Et bien, là çà a été un sommet auquel je ne m’attendais pas. Hier matin, alors que vers 11 heures, je sortais de la douche pour me réveiller après une nuit de folie à bavarder sur le site de rencontres coquines (où tu n’étais pas !), j'ai entendu la sonnette de l'interphone de mon appartement retentir. Je me suis enroulée rapidement dans une grande serviette que j'ai nouée au dessus de mes seins et je suis allée répondre. C'était la factrice qui m'apportait une lettre recommandée. J'ai été un peu surprise car d'habitude elle se contente de laisser un avis de passage dans la boîte aux lettres. J’ai ouvert la porte de l'immeuble et j'ai attendu sur le palier qu'elle arrive jusqu'à moi. Ce n'était pas la factrice habituelle. J'ai tout de suite reconnu une copine de ...
... lycée que j'avais perdue de vue depuis cette époque. En me remettant ma lettre, elle me dit que c'est le nom sur le boitier de sonnette qui a attiré son attention et qu'elle aussi s'était rapidement souvenue de moi. Il est vrai qu'à cette époque nous affolions nos condisciples car nous étions les deux seules à porter des tenues hyper sexy qui nous distinguaient des autres filles de notre âge. Nous flirtions outrageusement mais nous ne couchions que rarement. Il fallait que le garçon sorte vraiment du lot et qu'il ait su nous charmer suffisamment pour succomber. Ce que tous les garçons ignoraient, c'est que toutes les deux nous avions une relation avec des hommes plus âgés depuis de longs mois et nous avions su rester suffisamment discrètes pour que personne de notre entourage ne le sache. C’était des amants réguliers – certains étaient même mariés – qui nous faisaient de petits cadeaux… Nous ne nous considérions pas comme des femmes vénales… Douze années s’étaient écoulées depuis que nous nous étions perdues de vue… J’étais partie travailler à Bordeaux puis j’étais retournée vivre en Algarve d’où ma mère est originaire. Puis j’étais revenue dans la région de Biarritz avec mon copain Tony… Eva a pratiquement terminé sa tournée et nous commençons à bavarder et à raconter notre vie écoulée depuis bientôt ce temps au cours duquel nous nous sommes perdues de vue. Je la détaille pour voir combien elle a changé. Elle a des formes pleines, une jolie poitrine bien ronde, une taille ...