Mamie Louise 01
Datte: 19/10/2018,
Catégories:
Mature,
... constatation, si elle l’affectait, la troublait étrangement également… Cette jeune virilité qu’elle avait sentie contre ses fesses ébranlait curieusement ses sens ; et plus elle pensait à ce contact incongru, plus elle sentait ses sens s’échauffer. Entre ses cuisses, une chaude humidité avait saturé les parois de sa vulve.Dans le silence de la pièce seulement troublé par le caquètement des poules à l’extérieur, Louise se versa un verre de la bouteille des Côtes-du-rhône, qui était restée sur la table. Tout en sirotant le vin aux goûts de fruits noirs, elle s’interrogea sur ce désir qui insidieusement prenait possession dans ses entrailles. Certes, le fait de percevoir contre sa croupe, la raideur et la dureté d’un membre viril bandé, pouvait perturber ses sens ; mais de savoir, que ce sexe plaqué entre ses fesses appartenait à son petit-fils aurait dû freiner cette émotion sexuelle qui la travaillait encore.Alors qu’elle se questionnait sur les raisons de son excitation et, comment la calmer, l’entré de son mari dans la salle la fit sursauter, la tirant brusquement de ses réflexions.— Eh bien ! Ça va mieux, annonça ce dernier en s’asseyant aux côtés de sa femme… Un bon petit somme remet son homme en forme !...— Eh bien tant mieux, acquiesça Louise, voyant dans les paroles de son mari, la solution à ses problèmes sexuels.— Je boirais bien un peu de ce bon vin que tu nous as servi à midi !— Attends, je vais te chercher un verre, s’empressa de proposer Louise.Comme elle se ...
... levait pour se rendre jusqu’au placard où était rangée la vaisselle, Louise constata avec émotion que des tréfonds de son sexe une chaude liqueur s’écoulait, imbibant les lèvres de sa vulve. C’était comme si une vanne s’était ouverte au fond de son vagin, libérant une source secrète. La chatte trempée, et le bas-ventre parcouru par des frémissements de désir, Louise apporta un verre qu’elle déposa devant son mari.— Jérémy n’est pas là, demanda soudain Maurice ?— Il est sorti se promener, renseigna Louise. Il doit être du côté de l’étang, il aime cet endroit.Louise préféra taire à son époux la découverte de la sexualité de leur petit-fils, et surtout les conditions dans lesquelles celle-ci s’était produite…Alors qu’elle remplissait le verre, elle sentit la main de son époux se poser sur ses fesses, comme il avait souvent l’habitude de le faire, sans que cela n’aille plus loin. Louise en avait l’habitude, et si elle habituellement elle acceptait cette caresse avec indifférence, à cet instant, ce simple contact exacerba un peu plus sa libido déjà fortement perturbée.— Nous sommes donc seuls !... avertit-elle en venant s’asseoir sur ses genoux, lui entourant le cou de son bras droit :— Tu ne m’avais pas promis quelque chose avant le dîner ?Maurice qui avait encerclé la taille de son épouse de son bras gauche posa sa main droite sur les genoux découverts par la jupe légèrement retroussée. La douceur et le satiné de la chair sous sa paume lui procurèrent un délicieux plaisir. Il était ...