Mamie Louise 01
Datte: 19/10/2018,
Catégories:
Mature,
... lequel elle planait était d’une telle félicité qu’elle en oubliait l’appel de son vagin. Les mains crispées dans la chevelure clairsemée de son époux, elle encourageait ce dernier d’une voix langoureuse :— Oouuii… Hhuuummmm, c’est bon….. J’adore quand tu me têtes… Oh oui !...Cependant, cette douce euphorie dans laquelle elle se complaisait, ne tarda pas prendre de l’ampleur. Une moiteur sensuelle, qu’elle connaissait bien, recouvrit son corps, depuis son visage jusqu’à ses cuisses. Affolée, comprenant à ce signe, que la jouissance était proche, Louise s’affola. Elle ne désirait pas jouir aussi rapidement. Elle voulait ressentir encore un moment ce sentiment de plénitude sensuel. Tentant de repousser loin de son sein le visage de Maurice, elle s’efforça de raisonner ce dernier :— Non, arrête ! Gémit-elle… C’est trop bon… Nnoonn… Oh, non… Arrête… Ooohhh…. Nnooonnn… Oouuuhhaaaa !.... Tel un tsunami d'une magnitude de 6,3, la jouissance explosa soudainement dans le bas-ventre de Louise, lui faisant lancer passionnément son bas-ventre en avant, tandis que ses reins se cambraient.Astucieusement, Maurice s’en était pris à ses zones érogènes auxquelles il lui était impossible de résister. De ses doigts, il avait pincé fortement son téton droit, tout en mordant durement le gauche. Ce genre d’attouchement très spécial l’amenait irréductiblement à la jouissance et cela depuis son adolescence.Elle avait découvert cette particularité de la sensibilité de ses mamelons, lors d’un ...
... rendez-vous coquin avec le fils de leurs voisins, dans les caves de l’immeuble où ils habitaient ; ils devaient à cette époque, avoir chacun l’âge de Jérémy. Avec un certain plaisir, elle avait laissé le garçon fouiller son corsage. Sa jeune poitrine n’avait pas encore besoin de soutiens-gorges, bien qu’elle fut déjà bien développée. Le frôlement des doigts de son jeune partenaire sur ses seins et surtout contre ses mamelons à peine formés lui avait prodigué un étrange plaisir. Une sensation qu’elle n’avait encore jamais connue. A tel point qu’elle avait fini par abandonner ses essais pour dégrafer la fermeture éclair du pantalon de son partenaire, pour se polariser sur l’étrange bien-être qu’elle connaissait pour la première fois.Or, soudainement, trop impatient et encore terriblement maladroit, le garçon avait pincé fortement l’un de ses tétons. Une véritable vague de volupté avait aussitôt submergé Louise, la laissant totalement anéantie. Elle venait de connaître son premier orgasme, et cela du fait de la sensibilité de ses mamelons….Maurice venait d’user de ce stratagème, dont il connaissait les effets, pour lui faire connaître l’extase… La tête encore pleine d’éblouissements sensuels, Louise s’accrocha des deux bras au cou de son mari :— Salaud, réussit-elle à murmurer… Tu m’as fait jouir…— Ce n’est pas ce que tu désirais, répliqua Maurice, moqueur ?— Si, bien sûr… Mais pas comme ça !— Comment ça ?— J’avais envie de ta queue !... La sentir dans ma chatte !...— Cela peut encore se ...