1. Mamie Louise 01


    Datte: 19/10/2018, Catégories: Mature,

    ... n’était pas ce qu’il souhaitait, il se cala sur sa chaise offrant son gland dilaté à la bouche avide.D’une langue gourmande, éprouvant un intense plaisir lubrique, Louise commença par lécher le bourgeon de chair turgide sur toute sa surface, comme elle l’aurait fait d’une friandise. Perverse, elle s’ingénia même à forer le minuscule orifice du méat de la pointe de sa langue, sachant combien son époux appréciait ce genre d’attouchement. Au sursaut de la bite, au-devant de sa bouche, elle comprit qu’elle avait eu raison de s’attaquer à cette ouverture terriblement érogène. Maurice réagissait comme elle l’avait prévue, ce qui l’encourageait pour la suite de ses désirs. Abandonnant momentanément son sensuel baiser, elle s’exclama :— Huummm, il m’a l’air à point !...N’attendant cependant pas de réponse, elle s’empressa de gober, entre ses lèvres humides, la totalité du gland décalotté, qu’elle entreprit de sucer lentement ; insistant plus particulièrement sur la couronne du bourgeon de chair. Avec le temps, elle avait appris combien cette partie du sexe masculin était sensible, et Maurice ne pouvait en général, résister bien longtemps à pareille caresse. Lorsqu’elle sentit une main se poser sur son crâne et l’obliger à ingurgiter la totalité de la verge à l’intérieur de sa bouche, Louise comprit qu’il valait mieux cesser cette affolante caresse, si elle voulait profiter de la raideur de la bite. Alors, avec un art consommé de la fellation, elle tenta d’absorber complètement la ...
    ... verge gonflée, jusqu’à s’étouffer avec le gland volumineux. Puis elle recracha lentement la colonne de chair largement humidifiée par sa salive. Reprenant sa respiration, elle renouvela plusieurs fois sa sensuelle succion éprouvant une immense béatitude à faire coulisser ses lèvres le long du pal rigide et velouté.Le bas-ventre contracté par l’excitation, Maurice, les yeux clos, se laissa submerger par cette félicité langoureuse que lui prodiguait la voluptueuse fellation dont il était l’objet. Le va-et-vient des lèvres chaudes et humides le long de son membre, lui prodiguait une euphorie sensuelle. Avec le temps, Louise était devenue une experte dans l’art de la fellation. Plus d’une fois Maurice s’était fait piéger par la façon dont cette dernière, avait de le pomper. Incapable de résister aux lèvres expertes, il s’était maintes fois vidé les couilles dans la bouche accueillante.Or présentement, il n’était pas question qu’il s’abandonne à cette pipe, pourtant fort agréable. Et surtout il ne voulait pas décharger ainsi sa semence, Louise lui en aurait fatalement voulu, elle qui attendait qu’il la fasse jouir en lui faisant l’amour. Aussi, jugeant que la fellation l’amenait trop rapidement vers la jouissance, il décida de stopper son expérimentée suceuse. Saisissant l’abondante chevelure de son épouse, il lui repoussa le visage loin de son bas-ventre, l’obligeant à recracher sa verge tendue :— Pourquoi, s’étonna Louise ?... Tu n’aimes pas, continua-t-elle mutine ?— Il vaut mieux ...
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