Mamie Louise 01
Datte: 19/10/2018,
Catégories:
Mature,
... possible, Louise crocheta l’entrejambe du vêtement fâcheux et le tira fortement sur le bas. Le slip vaporeux, malgré sa finesse, eut du mal à glisser sur les hanches rebondies et Louise dut faire un énorme effort pour se débarrasser enfin de cette culotte inconvenante. De savoir sa chatte et ses fesses sans protection sous sa jupe accentua un peu plus chez Louise, le sournois désir qui lui échauffait le bas-ventre.Se sentant enfin prête, elle s’empressa de regagner la cuisine où elle découvrit Maurice piochant dans l’un des plats préparés.— Non, s’exclama-t-elle ! Ne touche pas à ça !... Va plutôt rejoindre Jérémy à la salle à manger !... J’arrive tout de suite !...Surpris par l’interjection de sa femme qu’il n’avait pas entendu arriver, Maurice se retourna pour répliquer, mais devant le spectacle qui s’offrait à ses yeux, il demeura ébahi :— Tu… tu es ravissante s’exclama-t-il!... C’est pour ton petit-fils que tu t’es faite si belle… si sexy… ?Ravi par ce compliment détourné, Louise ressentit un immense plaisir l’envahir :— Ne dis donc pas de bêtise, tenta-t-elle de protester de manière bien molle… C’est vrai que tu me trouves sexy ?Saisissant son épouse par la taille, Maurice se pencha à son oreille :— Si Jérémy n’était pas là, je te le prouverais !... Tu me donnes des envies, habillée comme ça !...Le corps parcouru par un long frisson sensuel, Louise regretta soudain la présence de son petit-fils… Ce n’était pas courant que son mari lui fasse l’amour en pleine journée. Or ...
... à cet instant, elle aurait accepté avec délice que Maurice la prenne ; là, dans la cuisine : à même la table !...— Il ne restera certainement pas tout l’après-midi avec nous, tenta-t-elle de murmurer, le bas-ventre soudainement échauffé… Tu pourras me baiser aussi longtemps que tu le désireras !... Ça fait combien de temps que tu ne m’as pas fait l’amour ?... Tu dois avoir les couilles bien pleines, continua-t-elle glissant une main curieuse entre les jambes de son époux.Comme Maurice tentait de répondre, Louise avoua dans un souffle :— Je n’ai pas de culotte…— Co… comment ça ? s’étonna Maurice abasourdi par la nouvelle.Et comme pour vérifier la véracité des dires de sa femme, il lui empoigna les fesses à pleines mains, qu’il malaxa avec curiosité, cherchant les contours d’un sous-vêtement. Lorsque ses doigts, trouvant la longue raie séparant la croupe en deux, s’enfoncèrent légèrement, il sut que Louise lui avait dit la vérité ; aucun slip ne protégeait ses fesses et de par la même occasion son sexe.Mais comme les palpations de sa croupe lui procuraient un plaisir évident, Louise décida d’y mettre une fin. Repoussant son époux devenant par trop entreprenant, elle le somma d’aller rejoindre leur petit-fils qui les attendait, assis à table.— Pour l’instant, on va manger ! Vas rejoindre Jérémy, tu auras tout le temps cet après-midi pour me peloter le cul et me fourrer !* **Quand elle pénétra à son tour dans la salle à manger, Louise fut accueillie par un « Ha ! » d’enthousiasme ...