1. Mamie Louise 01


    Datte: 19/10/2018, Catégories: Mature,

    ... par la situation.— C’est bien mon chéri, réussit à répondre Louise, alors qu’une bouffée de chaleur se propageait dans tout son corps.La raideur qu’elle percevait contre sa croupe, à l’interstice même de ses fesses, ne lui laissait aucun doute. Ce contact, qu’elle avait subi plus d’une fois dans son existence, ne pouvait la tromper. Interloquée, elle s’immobilisa, ne pouvant admettre la vérité. Cet objet, à la forme si particulière et à la dureté caractéristique, qui s’écrasait entre ses fesses était reconnaissable entre mille. Son petit-fils, son « bébé d’amour » comme elle aimait l’appeler était la victime d’une véritable érection. Ce qu’elle sentait contre sa croupe était bien une jeune virilité dure et gonflée. Terriblement bouleversée, Louise demeura un long moment immobile, ne sachant quelle contenance adopter. Jérémy devait être encore plus perturbé qu’elle, de cette situation… Faisant un intense effort pour ne pas céder au désir qui l’incitait à profiter de l’occasion, Louise, d’un souple mouvement, se dégagea de ce contact inconvenant, mais formidablement excitant. Ne voulant pas perturber l’adolescent par une quelconque remarque, elle choisit de faire comme si elle ne s’était rendu compte de rien.— Bon, je vais terminer, annonça-t-elle d’une voix qu’elle prit soin de rendre le plus naturelle possible… Tu peux aller te promener si tu veux… Je n’ai plus besoin de toi…Soulagé d’avoir échappé à la réprimande qu’il s’attendait à recevoir de la part de sa grand-mère, ...
    ... Jérémy s’empressa de quitter la cuisine. Il était impossible que sa grand-mère ne se soit pas rendu compte de son érection, collés l’un à l’autre comme ils l’étaient. Excité, et quelque peu honteux, par rapport à ce qui venait de se passer, Jérémy sortit de la ferme, impatient de se retrouver à l’air libre.Une fois dans la cour de la ferme, Jérémy se dirigea en direction de la grange ; ce bâtiment était lieu où il aimait se réfugier pour y rêver. Le dernier servait à entreposer les différents appareils agricoles. Une soupente à laquelle on accédait par une échelle servait à stocker le fourrage pour les chèvres. Il était également possible d’atteindre ce grenier à foin grâce à un escalier extérieur qui débouchait sur une large ouverture permettant de recevoir les bottes de paille.Se retrouvant dans ce qu’il considérait comme son territoire, Jérémy s’allongea dans la paille odorante, l’esprit et les sens chamboulés par ce qu’il venait de vivre… Il ne comprenait pas comment il avait pu éprouver cet intense désir pour sa grand-mère ? Même si celle-ci possédait un corps encore très désirable pour l’adolescent qu’il était, avec ces rondeurs pleines de sensualités, c’était quand même sa grand-mère, la mère de sa mère…Fermant les yeux il se remémora les instants de fortes excitations qu’il avait connus. Sous ses paupières closes, les images des affolantes rondeurs de sa grand-mère défilèrent en boucles ; son imposante poitrine qui déformait son corsage, ses hanches agréablement arrondies ...
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