1. Commande - Un


    Datte: 20/10/2018, Catégories: fh, fhhh, Collègues / Travail plage, intermast, Oral pénétratio, coprolalie, exercice,

    ... ou, visiblement, deux. Et c’est vrai qu’elle m’aimait bien. Je me permis de lui en toucher un mot. Elle rit : — Vous êtes tous les mêmes, et vous ne pensez qu’à ça ! Ils n’ont qu’à venir me le dire eux-mêmes. Elle se tut un moment, puis me regarda : — Et toi, ma poitrine… ?— Moi ? Tu sais bien qu’il est interdit de regarder les poitrines des collègues !— Hypocrite ! Chaque soir nous nous retrouvions autour d’une table. Ce soir-là, ce fut un peu plus arrosé que d’habitude. Gérard et Michel ne manquèrent pas de me reparler à mots couverts de la poitrine de Séverine, assise en face de nous, avec d’autres questions très fines, du genre : — Tu crois qu’elle baise bien ? Qu’elle en veut ? Etc.— Hé, les gars, je n’en sais rien, vous n’avez qu’à vous en assurer par vous-mêmes.— C’est malin, ça. C’est toi qui la connais le mieux, tu pourrais nous préparer le terrain.— Bon, soit, je vais essayer. Mais ma morale chrétienne le désapprouve. Ils poussèrent le braiment de l’âne. Je me tournai vers Séverine qui les regardait, interloquée. — Gérard et Michel se posent plein de questions à ton sujet. Mais pas ici. Est-ce que tu viendrais avec nous sur la plage ? Séverine nous regarda, d’abord perplexe, puis éclata de rire : — Vous êtes gonflés ! Mais à une condition.— Oui ?— Vous promettez de rester corrects. Promis, juré tous les trois, la main sur le cœur, dans une belle envolée. Les autres avaient quitté les lieux et il ne restait plus que nous quatre. Nous nous levâmes et sortîmes en ...
    ... direction de la plage. La nuit était assez claire car la pleine lune se reflétait sur la mer. La plage était déserte. Gérard me redemanda en catimini : — Tu crois qu’elle acceptera de nous les montrer ?— Je n’en sais rien, on verra bien. Je suis un filou. Je savais très bien qu’elle ne ferait pas trop d’histoires, pourvu qu’on y mette les formes. Je n’avais pas raconté à Gérard et Michel que l’avant-veille, en entrant dans ma chambre, j’avais trouvé Séverine qui m’attendait, couchée sur mon lit. Surprise totale de ma part. — Mais, qu’est-ce que tu fais là ?— J’ai repensé à ce que tu m’as dit au sujet de mourir idiote. Eh bien, je ne veux pas mourir idiote. Je veux que tu me baises. Je mis quelques secondes à réaliser. Puis, je m’assis au bord du lit, en relevant qu’elle serrait et desserrait imperceptiblement ses cuisses, comme pour flatter sa chatte. Elle devait être excitée à mort. Je lui touchai la poitrine en premier. Ses seins m’avaient également interpellé. Elle eut comme un soupir puis sa respiration s’accéléra. Je me permis alors d’être ignoble. Je décidai de lui infliger le jeu de la statue, délicieux préliminaire. Je lui ordonnai de ne pas bouger, de rester immobile quoique je fasse. Ma main descendit vers son entrejambe, la paume à plat sur le mont de Vénus. Elle tressaillit. Ensuite, mes doigts touchèrent sa chatte à travers le tissu. Je saisis ses lèvres entre le pouce et le majeur et commençai à les rouler l’une contre l’autre en prenant soin de coincer son clitoris. ...
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