1. Ma femme baisée au cinéma 1


    Datte: 20/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... quand ses doigts se sont repliés dessus. Elle a étreint la grosse queue, d’abord avec hésitation. Le type a grogné de contentement.- Oh oui, c’est bien, vas-y ! Ai-je dit dans un état second. Super, ma chérie, masturbe-la bien !- Qu’elle est grosse et dure ! A ajouté Nadia, dans un souffle.Elle s’activait maintenant avec plus de vigueur. Ses deux mains, du coup, couraient sur l’incroyable colonne de chair. J’ai reporté un instant mon attention sur le visage de ma femme. J’ai remarqué alors le trouble profond qui l’habitait: sa respiration était devenue haletante, son regard trouble était rivé sur le magnifique zob et surtout, ses lèvres, comme entrouvertes, témoignaient de l’envie qu’elle semblait avoir de la sucer, elle est comme envoûtée !- Oui, vas-y ! Continuait à grogner le type. Ah ! C’est trop bon ! Vas-y !Excitée par nos encouragements car moi aussi j’avais ajouté de la voix, elle faisait courir ses doigts à grande vitesse sur l’énorme bite, allant prestement des couilles velues au gland gorgé de sang. Agenouillée maintenant, le visage à la hauteur du gros chibre, la bouche béante, comme prête à l’avaler, elle se déchaînait comme une hystérique sur l’objet de son excitation.D’un coup de rein, le vigile a porté son gland à l’approche des lèvres luisantes de ma chérie. Pendant même un bref instant, il les a effleurées. Par moments, sans interrompre pour autant ses caresses, elle me regardait, le regard vitreux de plaisir et s’écria: « Qu’elle est grosse ! Qu’elle est ...
    ... bonne ! Beaucoup plus que ton petit zizi !».Régulièrement à présent, l’énorme gland venait à la rencontre de la bouche béante de ma femme, visiblement tentée de happer la bite tendue. J’ai extirpé à mon tour mon zizi, dur comme l’acier. Le spectacle de mon épouse agenouillée, le regard extatique qu’elle portait à l’énorme engin, m’excitait au plus haut point. A un moment, elle a tourné son visage vers moi et, comme si elle avait lu mes pensées, elle me demanda:- Je peux la sucer ?- Oh oui! Vas-y, ma chérie, pompe-le !- Oui, suce-moi, a renchéri le vigile.D’ailleurs, d’un ample mouvement du bassin en avant, il avait poussé d’un coup l’énorme bite contre les lèvres humides de Nadia. Le cœur battant, j’ai vu alors le gland congestionné entrer dans la bouche gourmande de ma salope ! Quelle sensation curieuse et troublante que d’observer ainsi sa femme, l’être le plus cher et le plus intime, agenouillée de la sorte devant un autre homme, pratiquant sur lui ce qu’il est convenu d’appeler une pipe ! Quels sentiments étranges et complexes peuvent pousser un mari à offrir de la sorte sa femme à un autre, pour y puiser un intense plaisir ! Car je me régalais à l’observer ainsi, la bouche pleine de la colonne de chair !Plus rien n’existait maintenant pour elle ! Sans retenue, elle s’efforçait d’enfoncer le plus possible de la belle queue dans sa gorge. Plus rien ne comptait, semblait-il, pour elle, que ce plaisir qu’elle prenait à s’enfoncer profondément la bite gonflée ! Sa bouche, ...