Orgasmes nocturnes...
Datte: 20/10/2018,
Catégories:
Hardcore,
... m'étais procurée n'avait en rien calmé mon excitation. Cette queue que j’avais tenue dans la main m'avait donné l'envie d’être remplie...Quand j'ai ouvert la porte de la cabine, j'ai frémi… De peur… Le pervers était la ! Devant moi avec ce même sourire libidineux que tout à l'heure dans la salle. Il s'est rapproché presque à me coller, je sentais sa respiration, j'étais paralysée. Il me prit par la taille et me repoussa à l'intérieur de la cabine, me plaqua contre le mur et verrouilla la porte.Je lâchais un jet qui coula sur ma jambe. Était-ce de la mouille où étais-je en train de faire pipi dans la crainte de ce qui allait m'arriver ?Sa bouche fouillant fougueusement la mienne, le désir charnel à vite repris le dessus. De nouveau irrépressible. Je savais que j'allais y passer… Et j'étais consentante, quoi que je me raconte. J'avais trop envie d'être remplie par une queue. Même si le faire avec cet inconnu pouvait comporter quelques dangers. Mais tant pis ! Je fermais les yeux et m’abandonnais à mon fauteur…Tout en nous embrassant frénétiquement, il pelotait mes seins à m'en faire mal. Puis une main remonta sous ma robe, y trouva la mouillure de mon sexe enfiévré. J'écartai mes jambes pour lui faciliter les caresses. Nos respirations étaient haletantes. J’ai mis ma main sur sa braguette, sentit l’énorme bosse qui déformait l’entrejambe de son pantalon... Et cette fois-ci, c'est moi qui l'ai déboutonné et fait jaillir ce joujou que je connaissais déjà...Je l’ai pris à pleine ...
... main et comme tout à l'heure, je l’ai branlé. Soupeser ses grosses couilles que je pinçais et malaxais de l'autre. Il me regardait droit dans les yeux, ses doigts dans mon vagin avaient trouvé mon point faible, sa paume appuyait sur mon bouton, j'étais prête à venir, je gémissais et je dégoulinais de plaisir.Mais ce sagouin ne m'a pas fait jouir. Sa main est sortie de ma minette pour passer sous ma cuisse me soulever la jambe, m'obligeant à lâcher ses couilles pour me suspendre à son cou. De l'autre, il m'a confisquée son machin pour le glisser sous ma robe, jouer avec son gland sur ma chatte, en une caresse fébrile qui me rendait folle surtout quand le nœud venait frotter mon capuchon. Je sentais monter en moi un désir brutal de pénétration.J’étais surexcitée, je mouillais de nouveau comme une cochonne, et je n’avais plus qu’une envie, c’était qu’il me remplisse, qu'il s'active dans mon trou à plaisir pour chasser cette tension sexuelle qui m'avait envahit !Il colla son morceau sur mon pubis, puis lentement, le descendit sur ma vulve, la sensation était voluptueuse et m'arracha une plainte de plaisir. L'impatience de le recevoir me devenait insupportable.Enfin, il toucha l'entrée de ma grotte avec la tête de sa tige, et commença à écarter mes petites lèvres. Je ne pouvais plus me contenir, j'ai eu un cri et je me suis pâmée, accrochée a son cou, alors qu’il mettait son gland dans mon con. J'étais parcourue de frissons extatiques.Me sachant à sa merci, par jeu, il me faisait ...