1. Le Village en folie (2)


    Datte: 20/10/2018, Catégories: Lesbienne

    Catherine n’était plus vêtue que de son J-string, d’où s’échappaient quelques poils follets. Sur le point d’entrer dans la douche, elle avait saisi son mamelon gauche avec deux doigts, tout en s’observant à travers la glace. Ayant fermé les yeux, elle prit une grande respiration et pinça son téton si fort qu’elle sentit ses jambes ramollir. Tentant de supporter la douleur, elle tritura violemment pendant quelques secondes son mamelon qui devenait de plus en plus rouge, tout en portant l’autre main dans sa culotte jusqu’à son clito qu’elle se mit à stimuler doucement. Ayant repris son souffle, elle imposa sans pitié le même traitement à son autre nichon dont le mamelon était resté érigé. Maintenant en sueurs, elle retira son string rendu humide par sa transpiration mais surtout par la cyprine qui s’écoulait hors de son sexe et qui avait commencé à mouiller sa culotte. Maintenant complètement nue, elle porta de nouveau la main à son sexe humide et glissant et repinça doucement avec les doigts son clitoris qui était demeuré congestionné. L’agréable stimulation clitoridienne fit en sorte que la grimace de douleur affichée sur son visage angélique laissa place à un sourire de jouissance. Ouvrant un tiroir, elle saisit par la suite une pince à épiler et prit place sur le siège de la toilette. Après avoir fait ses besoins, elle actionna la chasse d’eau, demeura assise et observa longuement l’instrument d’épilation levé devant ses yeux, puis le dirigea vers sa chatte blonde et ...
    ... frisée. Tout en continuant de chatouiller son bouton d’amour, ayant laissé l’instrument fouiller dans sa pilosité pubienne, elle referma les yeux et se mit à tirer doucement sur le pâle petit poil qu’elle venait de saisir avec la pince. Catherine grimaça de nouveau de douleur durant le bref combat entre le minuscule élément pileux qui refusait de se faire déraciner et l’instrument qui le tirait inexorablement hors de l’épiderme soyeux de la jeune adulte. Le manège se répéta à deux autres reprises, arrachant à chaque fois du même coup une plainte étouffée chez la blonde. Catherine tentait toujours, durant ces moments d’apparente automutilation, de se conforter par de nouvelles caresses dans ses parties intimes les plus érogènes. Ayant redéposé l’instrument de torture improvisé dans son tiroir, sans jamais avoir cessé de stimuler son petit bouton d’amour, la fille referma la porte de la cabine de douche derrière elle et ouvrit l’eau. Elle entreprit de se savonner de la tête au pied, puis se mit à faire courir ses mains sur son corps maintenant devenu glissant et mousseux. Frottant doucement sa poitrine, elle sentit la douleur aux mamelons quelque peu s’estomper. Voulant s’assurer d’une propreté complète, elle s’introduisit, entre des fesses savonnées, un doigt glissant dans l’anus qu’elle se mit à masser légèrement. Saisissant la douche-téléphone, elle procéda à son rinçage. Au moment de passer à son postérieur, Catherine mit le pommeau à la fonction de pulsation et augmenta la ...
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