Révélations
Datte: 20/10/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fsoumise,
hdomine,
soubrette,
noculotte,
intermast,
pénétratio,
fsodo,
fouetfesse,
journal,
... voiture roule au pied du bâtiment, elle s’arrête : c’est lui ! Encore quelques secondes, la porte de l’escalier s’ouvre. Je le sens là, au pied du lit à m’observer. Je ne veux pas bouger, mais je suis fébrile. Le fait d’être aveuglée aiguise mes perceptions : ma peau se hérisse légèrement, mes seins durcissent, les lèvres de mon sexe s’entrouvrent et s’humidifient. Tout à coup, me faisant sursauter, sa voix, brutale : — Mets-toi sur le ventre et tends tes bras en avant. J’obéis. Une corde vient enserrer mon poignet droit et, manifestement, est attachée au montant du lit. Même chose à gauche. — Soulève-toi ! Offre-toi, comme une femelle en chaleur… Il ne croit pas si bien dire : je suis en chaleur ! Je désire ses mains sur moi, je brûle d’avoir son sexe mâle en moi. Je me soulève sur les genoux, les attaches ne me permettent pas de me hisser sur les mains, seulement sur les coudes. Ma poitrine ballotte et les pointes sont électrisées par le frottement sur le drap. Une main se pose sur mon dos, je frissonne ; une autre me caresse les fesses. Je ne suis plus qu’attente, je suis ouverte, totalement disponible à tout ce qu’il voudra de moi du moment qu’il me touche un peu. La main descend entre mes fesses, un doigt parcourt la raie, s’arrête un instant sur mon anus qui s’ouvre de lui-même, puis vers ma vulve trempée. Il s’introduit dans mon vagin – je geins de bonheur – ressort et va titiller mon clitoris, je me tortille en criant. Je n’ose rien dire, je voudrais crier « Viens ! ...
... », mais rien ne sort. Et puis… et puis les mains me quittent. Oh non ! Pas encore une fois ! J’entends des froissements de vêtements. Il se déshabille, je suis rassurée. Un poids fait basculer le matelas, il monte sur le lit. Tout à coup, deux mains m’agrippent les hanches et un sexe dur et brûlant frotte ma vulve. Je grogne de plaisir et d’espoir. Je ne bouge pas de peur de le faire fuir. Après quelques va-et-vient, il se présente devant mon puits d’amour et, lentement il me pénètre. Je sens mes parois qui s’écartèlent, je sens le frottement du large gland qui s’enfonce ; mon grognement se transforme en soupir de bonheur. Et puis il se retire. Vide soudain ! Un crachat tombe sur mon anus puis le gland vient appuyer dessus. Par petites pressions, il s’introduit. Il est énorme ! Beaucoup plus que le godemiché… Je respire, respire… et il s’introduit. La douleur est cuisante mais supportable. Il attend que ma respiration se calme avant de continuer à s’enfoncer. Dieu, que ce pénis est long ! Je me sens curieusement remplie, l’émotion est étrange mais commence à me gagner tout le corps. Sans que je puisse maîtriser quoi que ce soit, ma respiration s’accélère et mon cœur se met à cogner. J’amorce le va-et-vient qui le fait glisser en moi… je perds la tête et me laisse envahir par un orgasme qui me secoue tout entière. Ce n’est pas pour rien que certains appellent cela la « petite mort ». Quand je reviens à moi, il est toujours là, rigide ô combien ! et il revient en moi, mais dans ...