Fantaisie
Datte: 20/10/2018,
Catégories:
fhhh,
pénétratio,
yeuxbandés,
confession,
amourpass,
Il n’avait vraiment pas mis longtemps à me convaincre. Moi, féministe dans l’âme, «répugnée » à l’idée que la femme soit un simple objet de plaisir d’homme. Mais ma curiosité, ou peut-être mon désir, prit le dessus sur ma raison et mes principes. Et me voilà en dentelle noire sous mon minishort et T-shirt semi-transparent, montant dans ce bus et franchissant le pas vers cette nuit qui m’attend. Il m’avait décrit son fantasme dès la première nuit que nous avions partagée. J’avais été surprise par la manière dont il l’avait imaginé, chaque détail importait, c’était quelque chose qu’il semblait avoir longuement réfléchi. Au début, je m’étais montré réticente à entrer dans son jeu. Je ne comprenais pas la finalité, et surtout pourquoi il voulait le faire précisément avec moi. Et puis petit à petit, je me suis dit pourquoi pas. Il m’avait dit pour me rassurer : « ce sera ta nuit ». Cependant, dans le bus, ma peur grandissait. Où allais-je ? Le voulais-je vraiment ? Est-ce qu’après cette expérience, ma vie serait toujours la même ? Mais je m’imaginais aussi cette nuit, me voyais nue sous son regard et sentais des vagues de désir apaiser, ou se mêler à la peur. Le bus prenait tout son temps, et chaque minute paraissait s’éterniser. Je descends enfin du bus, et il est là, il m’attend. Il est tellement beau et pur que dès que je le vois, je me sens fondre. Il dépose un timide baiser au creux de mes lèvres et prend ma main. On y va. Au fur et à mesure que je monte les escaliers vers ...
... la chambre, je sens ma peur grandir. Il la lit dans mes yeux. Il me couche alors tendrement sur le lit et entrouvre mon décolleté. Son corps chaud se serre à mon côté alors qu’il prend dans sa main l’un de mes seins. Il le porte à sa bouche et caresse amoureusement de sa langue la pointe déjà dure. Je me laisse faire et me détends doucement. Son autre main parcourt lentement le bas de mon ventre, puis plus bas sur mon short très fin. Quand il me sent rassurée, il retire peu à peu mes vêtements. Je suis maintenant assise nue sur le lit, et je laisse son regard sombre parcourir les courbes de mon corps pâle. Il semble un moment lutter contre son désir de me prendre maintenant. Mais nous avions dit, pas tout de suite. Alors il se résigne à prendre le tissu noir qui me bandera les yeux pour cette nuit et entoure ma tête, prenant garde à laisser quelques mèches de cheveux provocatrices. Les yeux fermés me rassurent. Je ne porte plus attention à mon apparence, et me concentre uniquement sur les bruits, les voix, l’air de la pièce et les mains qui me touchent et qui font frissonner ma peau. Je me sens même désirable et attends maintenant la suite. Il m’indique que le premier ami arrive. Nous commençons une conversation banale qui finit par m’énerver. Je sens le liquide chaud entre mes cuisses, je ne veux pas qu’il refroidisse. Alors je cherche de mes mains ce corps qui m’est destiné, et le force à venir sur moi. L’homme semble surpris mais son souffle s’accélère. Ses mains découvrent ...