1. Le péage


    Datte: 21/10/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... complètement dégoulinante de salive et de sperme, mon maquillage doit couler et je ne ressemble certainement plus à rien.« Tu prends le volant, et comme je l’ai dit tu restes comme tu es, je ne me répèterai pas »Je monte alors dans la voiture sans rien dire, aussitôt le moteur démarré il allume la clim de la voiture au maximum et oriente la ventilation vers mes seins.Je démarre et reprends la route, mais bien entendu l’air sortant des buses est glacé et la seule réaction possible de mon corps est une érection de mes pointes à la limite de la douleur.Lui en profite pour les titiller afin de davantage les réveiller.Je suis à la fois honteuse et satisfaite, il sourit alors je suis heureuse.C’est à ce moment que j’aperçois le panneau d’annonce du péage à venir.Ce n’est plus la clim qui me glace à présent, non, il n’a pas osé ?Je jette un regard en sa direction, je le vois mettre ses lunettes de soleil et sourire.« Je ne veux rien entendre surtout »Plus que 500 mètres, malgré le froid dans l’habitacle je me sens transpirer. Je suis terrorisée et voudrait disparaître.« Ah oui, et tu évites les guichets automatiques, je veux que l’on voie quelle merveilleuse salope tu es »Plus que 100 mètres, je commence à ralentir, j’ai l’impression que tous les passagers des véhicules qui nous entourent me regardent.Lui glisse une main entre mes cuisses et le contact de ses doigts sur mon intimité déclenche un mini orgasme, je le pense davantage provoqué par la honte et la panique que par un ...
    ... quelconque plaisir physique. Mes tétons pourtant pointent encore davantage, deux déformations absolument inratables sous mon haut.Je jette un œil dans le rétro et m’aperçois alors, décoiffée, le visage luisant de salive et de sperme, dont un filet se balançant d’ailleurs de manière absolument obscène sous mon menton. Le rimmel ayant coulé dessinant de granges balafres noires de part et d’autre de mes yeux.Nous arrivons enfin au guichet, je suis pétrifiée, morte de honte. La femme m’annonce le prix en me souriant, je voudrais disparaitre. Je vois à présent à son regard qu’elle vient de réaliser ma situation.Lui sourit et salue la guichetière.« Bonjour, nous revenons de vacances, elles ont été fabuleuses, n’est-ce pas ? »Je bredouille un « oui » à moitié étouffé, en bégayant plusieurs fois.L’expression de la femme est passée en quelques instants de l’étonnement à l’écœurement, puis à la pitié et enfin à l’amusement.Je lui tends le billet que mon maitre m’a laissé, elle le passe dans la machine tandis que je prie pour que tout se termine vite. Je la vois qui va encaisser puis semble se raviser et fait mine de le repasser à nouveau plusieurs fois. Elle s’adresse alors à moi en souriant« Un instant s’il vous plait »Je la vois alors s’adresser au microJe suis complètement mortifiée, je voudrais disparaître et c’est là que j’aperçois un guichetier sortir du box de droite et se diriger vers celui de sa collègue.Il arrive alors près d’elle et je les vois discuter un instant tous les deux ...